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J’ai rencontré aujourd’hui Monsieur Gérard LESCIEUX, Maire de BIERNE, afin de réaliser un premier bilan de l’aménagement de la Zone d’expansion naturelle de crues et Ornithologique du Bierendyck.
Dans le souci de la plus grande concertation, Monsieur le Maire va rencontrer les riverains du site afin de déterminer les éventuelles améliorations à réaliser.
Le positionnement de l’observatoire a été envisagé, ainsi que le cheminement piétonnier.
Je me félicite de l’excellente coordination entre le Conseil Général du Nord et la Municipalité de BIERNE. Nous partageons une volonté commune de protéger la commune des inondations tout en offrant aux Biernoises et Biernois un nouveau lieu de promenade et de découverte de la faune ornithologique locale.
Jean SCHEPMAN
Vice-Président du Conseil Général du Nord
Je souhaite réagir à l’article du ‘Journal des Flandres’ paru le 10 juillet consacré aux élections municipales à BERGUES.
J’ai en effet été particulièrement choqué par les propos tenus par M. Paul-Loup TRONQUOY, Assistant Parlementaire de M. Jean-Pierre DECOOL, Député du Nord, qui critique la gestion de la commune de BERGUES.
Il évoque tout d’abord « les relations entretenues avec la Communauté de Communes » en insinuant que la ville de BERGUES ne bénéficierait pas des subventions auxquelles elle aurait légitimement droit. Je ne peux croire que M. FIGOUREUX, Président de la Communauté de Communes, ait un tel comportement partisan.
En outre, contrairement à ce que M. TRONQUOY affirme, le remboursement de la dette est effectif et constaté par tous les experts qui reconnaissent la très bonne gestion de l’équipe municipale en place.
Cela n’a pas toujours été le cas à BERGUES. J’ai moi-même constaté l’existence de dettes liées à des chantiers commandés par l’ancienne municipalité sans aucun passage en Conseil Municipal.
Monsieur TRONQUOY dénigre l’action municipale sans le moindre fondement. Il prouve ainsi qu’il ne porte qu’un regard purement politicien sur BERGUES, sans réel intérêt pour la ville et bien loin des préoccupations de ses habitants.
BERGUES se redresse, c’est évident. Les BERGUOIS, y compris l’opposition municipale, reconnaissent d’ailleurs le bon travail fourni par l’équipe en place.
Madame, Monsieur,
Le canal Seine-Nord Europe est un projet très important qui permettra l¹intégration de la Seine au réseau fluvial européen et qui favorisera le transport multimodal de marchandises ainsi que le développement durable des territoires.
Dès ma prise de fonctions, j’ai été informé des difficultés rencontrées par le dossier du canal Seine-Nord Europe (SNE), de nature à remettre en cause sa réalisation. J’ai donc souhaité une étude indépendante et objective de l’état du dossier. C’est dans ce sens que j’ai confié, le 11 septembre 2012, une mission conjointe à l¹Inspection générale des Finances et au Conseil général de l¹Environnement et du Développement durable afin d’examiner la procédure en cours d¹attribution du contrat de partenariat, tant sur les aspects financiers que sur le pilotage du projet.
En effet, plusieurs problèmes majeurs ont été délibérément mis de côté et doivent aujourd¹hui trouver une solution : sous-évaluation du coût de l¹opération, surévaluation des recettes de péages, incapacité du titulaire du contrat de partenariat à réunir les financements privés nécessaires.
Les résultats de cette mission viennent de m’être remis. Ils dressent un bilan très dur du pilotage du projet tout en rappelant l’intérêt et la nécessité du canal Seine-Nord Europe. Ses travaux mettent ainsi en évidence une explosion du coût total du projet avec une augmentation de 60% en trois ans, une surestimation des trafics et des recettes liées à l¹exploitation du canal qui dégrade encore l¹économie du projet ainsi qu¹une mobilisation insuffisant des financements européens par le précédent Gouvernement. Enfin, il apparaît que le PPP est insoutenable financièrement pour le partenaire privé, les besoins excédant largement la capacité d¹emprunt sur les marchés financiers.
Malgré toutes ces difficultés, la précédente équipe gouvernementale a franchi précipitamment toutes les étapes de la procédure du PPP, la conduisant aujourd¹hui dans une impasse dont elle veut faire porter la responsabilité au Gouvernement actuel.
Pour ma part, je n’ai pas souhaité fermer les yeux et laisser se poursuivre une procédure qui condamne à jamais le projet. Dans un esprit de responsabilité, j’ai souhaité reprendre le projet avec sérieux et lui donner toutes les chances de réussite.
C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de procéder à la nécessaire reconfiguration d’un projet qui a considérablement dérivé au cours des dernières années, afin d’en réduire les coûts et le rendre réalisable. Le cadre de la procédure actuelle de dévolution d’un contrat de PPP ne donne pas suffisamment de marges de manœuvre pour optimiser le projet.
En effet, compte tenu de la dérive considérable du projet, les économies à faire sont telles qu¹il est impossible, pour des raisons juridiques, de rester dans le cadre de la procédure lancée en 2009. J’ai donc décidé de mettre un terme à la procédure de PPP en cours qui ne peut pas aboutir à une solution financièrement réalisable.
Des perspectives claires de reconfiguration du projet devraient être définies d’ici le 1er semestre 2014. Il sera alors nécessaire de mobiliser massivement l’Union européenne pour arriver au financement du projet : la crédibilité nouvelle du projet permettra de déposer une demande de subvention à l’Union européenne au titre de l’appel à projet RTE-T 2014-2020 au taux maximum permis par le règlement européen.
Je vous prie de recevoir, Madame, Monsieur, l¹expression de ma considération distinguée.
Frédéric CUVILLIER
Ministre chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche
Communiqué de presse
Election Présidence de la CLE du SAGE de l’Yser
Le Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) est un document de planification de la gestion de l'eau à l'échelle d'une unité hydrographique cohérente (bassin versant). Il fixe des objectifs généraux d'utilisation, de mise en valeur, de protection quantitative et qualitative de la ressource en eau et est élaboré par les acteurs locaux (élus, usagers, associations, représentants de l'Etat, ...) réunis au sein de la Commission Locale de l'Eau (CLE).
La Commission Locale de l’Eau (CLE) du Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de l’Yser a été instaurée par arrêté préfectoral le 07 novembre 2006. D’une durée de validité de 6 ans, cet arrêté de composition a été renouvelé le 09 avril 2013.
Réunie en séance plénière le 10 avril 2013, la CLE du SAGE de l’Yser a procédé à l’élection de son Président et de ses Vice-Président.
Président de la Commission Locale de l’Eau depuis le démarrage de cette opération de gestion de l’eau à l’échelle du bassin versant de l’Yser, M. Jean SCHEPMAN, conseiller général du canton d’Hondschoote et Vice-Président du Conseil Général du Nord en charge de l’Environnement, du Développement Durable et de la Politique de l’Eau a été réélu à l’unanimité afin de poursuivre les efforts entrepris.
Mme Edith STAELEN, Vice-Présidente du Syndicat Intercommunal du Bassin de l’Yser (SIABY) a été réélue en tant que Vice-Présidente de la CLE du SAGE de l’Yser en charge de la Commission thématique « Préservation et mise en valeur des milieux aquatiques et du patrimoine naturel ».
M. Jacques DRIEUX, Président du SIABY et maire de la commune de Noordpeene a quant à lui été réélu Vice-Président de la CLE du SAGE de l’Yser en charge de la commission thématique « Hydraulique – Prévention des inondations » et M. Patrick VALOIS, conseiller général du canton de Wormhout a été réélu à la Vice-Présidence de la CLE en charge de la commission thématique « Qualité de l’Eau ».
Cette nouvelle organisation de la CLE doit permettre l’approbation prochaine des documents du SAGE de l’Yser qui encadreront la politique de l’eau sur le territoire.
Bonne nouvelle : 5 senateurs du Nord-Pas de calais sont pour l'application du vote des militants concernant le non-cumul des mandats, contre seulement 3 contre dont 1 dans le Nord.
Pour le non-cumul ( comme 71 % des français ) on retrouve Dominique Bailly, Delphine Bataille, René Vandierendonck pour le Nord et Odette Duriez, Jean-Claude Leroy pour le Pas-de-Calais.
Sont contre : Michel Delebarre ( Nord ), Daniel Percheron et Catherine Genisson (Pas-de-Calais).
M. André Figoureux, Conseiller Général du Canton de Bergues, me traite de menteur (a plusieurs reprises) et de mythomane sur son blog...
Une seule réponse : l'insulte est l'arme des petits.
L'entreprise Française "Dodo", implantée en Lorraine, est une PME spécialisée dans la fabrication de couettes (on s'en serait douté).
Après avoir, comme beaucoup, délocalisé sa production en chine pour réduire ses coûts, son patron Marc Cerf a décidé de relocaliser en France. Et oui, du textile en France !!
La raison ? Pour garantir des produits de qualité, Marc Cerf a besoin de s'appuyer sur le savoir faire de son personnel. La valeur ajoutée du travail de ses couturières Françaises ne trouve pas son équivalent en Chine, pays dans lequel les employés changent d'usine un beau matin pour gagner 1 euros de plus. "La Chine ne sait pas innover, ils ne savent que copier" a déclaré Marc Cerf sur l'antenne de France Info.
Résultat, l'entreprise a investi en Lorraine dans des machines dernier cri, emploie 50 personnes et prévoit d'en embaucher 20 supplémentaires.
Alors non, la délocalisation n'est pas une fatalité. Non la Lorraine ne se résume pas à la fermeture des usines de sidérurgie. Non la France n'est pas encore en ruine.
Rappelons que les petites entreprises sont le premier employeur de France, elles doivent être aidées.
Fond public d'investissement, meilleure justice fiscale, pacte de compétitivité, contrat de génération, voilà autant de mesures qui, je l'espère, aideront nos petites entreprises à innover, à croitre, à entretenir notre savoir faire et nos compétences, et en conséquence, à créer nos emplois de demain.
La France, c'est ça aussi, qu'on se le dise en ce "peut-être" jour de fin du monde. Ce n'est qu'un exemple et je sais bien qu'il y a aussi d'autres réalités moins plaisantes, mais ayons confiance en notre avenir proche.
Et si vous devez acheter une couette pour Noël, c'est le bon moment pour faire un geste citoyen ;)
Samuel Bouey
Des représentants de plusieurs départements se sont réunis à Lille Grand Palais. Au menu :
le développement durable ou comment innover quand la crise économique domine.
CHRISTELLE JEUDY > christelle.jeudy@nordeclair.fr
Comment changer les mentalités quand se loger ou se nourrir devient une priorité, avant la préoccupation environnementale ? Le sujet, pas forcément posé ainsi, a dû être évoqué par les représentants des départements de France en colloque à Lille. Le président de l'Assemblée des départements de France (ADF), Claudy Lebreton, était aux côtés du président du département du Nord, Patrick Kanner, pour ouvrir les travaux. « La question environnementale s'ajoute aujourd'hui aux questions économiques et sociales », a souligné le président de l'ADF pour qui développement durable et « construction d'un nouveau monde » vont de pair.
Aujourd'hui, une cinquantaine de départements, dont le Nord, ont adopté un Agenda 21. « C'est bien, mais avec quels progrès ? », s'interroge Claudy Lebreton pour qui ce colloque était justement l'occasion, pour les départements, d'évaluer certaines politiques et de partager les expériences.
Entraîner une dynamique
Dans ce domaine, le Nord avait beaucoup à dire et à montrer avec la construction de collèges et bâtiments de Haute qualité environnementale, le développement des routes durables, l'extension des zones de nature préservées ou encore, l'arrivée de l'assiette durable dans les restaurants scolaires, etc. Autant d'expériences qui impliquent en amont un changement des mentalités. « À nous de montrer que l'on peut consommer autrement et partager davantage », a plaidé le vice-président Jean Schepman.
Un discours plus difficile à défendre quand la crise prive les plus démunis de l'essentiel. « Mais ça n'est pas qu'un débat pour les bobos, c'est un débat pour une autre croissance », s'est défendu Patrick Kanner pour qui le rôle des collectivités est aussi d'entraîner une dynamique « à partir d'actions exemplaires ». w
Lille, le 22 novembre 2012
Monsieur le Président,
Vous m’avez demandé, lors d’une réunion qui a eu lieu ce matin, de financer une étude relative aux récentes inondations de la commune de STEENE.
Chacun connaît mon engagement de longue date dans la lutte contre les inondations sur notre territoire. A cet égard, je me félicite que vous partagiez ma volonté de mettre tous les moyens en œuvre afin de limiter au maximum les conséquences de ces événements pour nos concitoyens.
J’aurais d’ailleurs apprécié que vous consacriez la même énergie à m’accompagner et à me soutenir dans le dossier de la zone d’expansion de crues de BIERNE. Les crues de ces dernières semaines ont démontré, s’il le fallait, la pertinence d’un projet intégralement financé par le Conseil Général et que j’ai porté depuis de nombreuses années.
Comme je vous l’ai indiqué, je suis pour le moins surpris de votre soudain empressement à lancer une étude sur la problématique de STEENE « dans les jours prochains », en décrétant péremptoirement qu’elle sera financée par telle ou telle structure et à tel ou tel pourcentage, sans la moindre concertation entre les services ou encore sans le moindre respect des règles qui régissent nos collectivités.
Pourtant, en tant que Conseiller Général, vous n’êtes pas sans savoir qu’un dossier de demande de subvention fait l’objet avant toute chose d’une instruction administrative à la lumière des critères d’intervention du Département du Nord. Une fois cette démarche effectuée, l’accompagnement financier éventuel de notre institution est soumis à l’approbation de nos instances délibérantes.
Je vous demande par conséquent, Monsieur le Président, de vous conformer à ces règles légales simples mais impératives et ce, dans l’intérêt premier des victimes des inondations qui ont besoin d’actes sur la durée plutôt que de promesses immédiates.
J’ai également été surpris de votre intention de ne pas passer d’appel d’offre pour le choix du bureau d’études. Il va sans dire que les services du Conseil Général se devront de vérifier au préalable de l’étude de ce dossier la bonne prise en compte des dispositions du code des marchés publics.
Tout ce qui précède prouve bien que la précipitation n’est pas de mise dans ce dossier, il est extrêmement important d’associer les services techniques à sa gestion politique.
Restant en attente de votre dossier de demande de subvention,
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma considération distinguée.
Jean SCHEPMAN
Vice-Président