Le ministère de l'Economie et des Finances, à Paris, dans le quartier de Bercy
© France 2 Pour Bercy, cette évolution "s'explique exclusivement par une dégradation du solde des comptes spéciaux (-3,6 milliards d'euros par rapport à l'année dernière)".
Cette dégradation des comptes spéciaux (hors du budget général de l'Etat) est "liée en particulier à l'imputation temporaire de la charge relative aux obligations indexées sur l'inflation".
A la fin juillet, les dépenses du budget général de l'Etat atteignent 164,0 milliards d'euros, contre 164,6 milliards un an plus tôt. Cette légère diminution n'est toutefois qu'apparente, en raison d'un retard d'enregistrement de certaines écritures dont la "complète comptabilisation apparaîtra seulement dans la situation mensuelle budgétaire arrêtée au 31 août", indique le communiqué.