De la sidérurgie à l'automobile, en passant par la banque et l'informatique, inventaire des plans sociaux secteur par secteur.
ArcelorMittal: 1.400 emplois.
Le 1er décembre, le groupe sidérurgique dit viser 1.400 départs en France en 2009.
Natixis: 450 emplois.
La banque a annoncé le 9 décembre la suppression de 450 postes en plus des 850 déjà annoncés en mai 2008.
Calyon (filiale du Crédit Agricole): 250 emplois.
La banque a annoncé le 10 septembre la suppression de 250 emplois.
Sanofi-Aventis: 927 emplois.
Le groupe pharmaceutique a annoncé le 2 octobre la suppression de 927 postes en France, principalement des visiteurs médicaux.
Schering-Plough SA: 330 emplois.
Le groupe pharmaceutique a annoncé le 12 septembre la suppression de 330 postes.
MBO et Innovex: 755 emplois.
Le 4 décembre, liquidation judiciaire des sociétés MBO et Innovex (groupe MBO) spécialisées dans la visite médicale.
Renault: 4.900 emplois.
Le constructeur a indiqué le 9 septembre prévoir d'ici avril un plan de 4.000 «départs volontaires». Le 25 septembre, il a ajouté la suppression de 2.000 emplois dans ses filiales européennes, dont 900 en France.
PSA Peugeot Citroën: 3.550 emplois.
Le groupe automobile a annoncé le 20 novembre un plan de "départs volontaires" concernant 3.550 salariés en France.
Valeo: 1.600 emplois.
L'équipementier automobile a annoncé le 17 décembre la suppression de 1.600 emplois en France (5.000 dans le monde).
SevelNord: 350 emplois.
La filiale de PSA-Peugeot-Citroën et Fiat a annoncé le 26 janvier la suppression de 350 emplois par départs volontaires à Hordain (Nord).
Plastic Omnium: 219 emplois.
L'équipementier automobile a annoncé le 10 décembre la fermeture de l'usine de Saint-Romain de Colbosc, près du Havre, qui emploie 219 salariés.
Tyco Electronics: 620 emplois.
Le groupe (composants électroniques automobile) a annoncé le 4 septembre que d'ici 15 mois, il allait supprimer 620 emplois. Fermeture des usines de Chapareillan (Isère) et de Val-de-Reuil (Eure).
Key Plastics France: 300 emplois.
L'équipementier automobile s'est déclaré le 13 septembre en cessation de paiement et va supprimer quelque 300 emplois à Bellême (Orne), Voujeaucourt (Doubs) et Rochefort (Charente-Maritime).
Molex: 300 emplois.
Le groupe américain a annoncé le 23 octobre son intention de fermer son site de production de connecteurs électriques pour automobiles employant quelque 300 salariés à Villemur-sur-Tarn (Haute-Garonne).
Fulmen (Exide Technologies SAS): 314 emplois.
Le fabricant de batteries d'automobiles a annoncé le 26 janvier la fermeture de l'usine d'Auxerre et le licenciement de ses 314 salariés.
Camif: 946 emplois.
Le numéro trois français de la vente à distance a annoncé le 7 novembre la suppression de 946 postes.
La Redoute: 672 emplois.
La Redoute (PPR) a annoncé le 21 octobre la suppression de 672 emplois d'ici 4 ans.
Adecco: 600 emplois.
Le groupe de travail temporaire a annoncé le 16 octobre la suppression de 600 emplois en France d'ici juin.
Hewlett-Packard: 580 emplois.
Le groupe informatique a indiqué le 9 octobre qu'il supprimerait 580 postes en France (9.330 en Europe).
NXP France: 450 emplois.
Le fabricant de puces électroniques NXP France (ex-Philips) a annoncé le 29 septembre la suppression de 450 postes sur 1.100.
A ces réductions s'ajoutent celles chez Peugeot Motocycles (250), Amora (296, 3 sites), Jean Caby (groupe Aoste, 350), Sony à Pontonx-sur-l'Adour (Landes) (312), le fournisseur d'accès Alice (320). De fortes inquiétudes pèsent aussi chez Texas-Instrument à Nice (305), la banque Dexia, STMicroelectronics ou Schneider Electric.