J’ai eu l’honneur de participer en tant que Président de l’Institution Interdépartementale des Wateringues ce lundi 4 avril dans les locaux de la Sous préfecture de Dunkerque à la signature du protocole de gestion des eaux du dunkerquois.
Je le rappelle depuis des années nous appelons de nos vœux l’élaboration et la signature de protocoles de gestion. Je me félicite suite à mes nombreuses interpellations auprès de l’Etat, de voir se concrétiser ce jour un travail de longue haleine. Je tiens ici à mettre à l’honneur les services de l’Etat qui ont su réagir efficacement par la mise en place des Groupes de Travail transversaux et qui ont permis de faire aboutir notre demande.
Ce document, je le rappelle a pour objectif de définir des règles de gestion des eaux, en intégrant l’ensemble des apports du système, tous les acteurs et ouvrages concernés et d’optimiser les consignes en prenant en compte un maximum de scénarios prévisibles.
Il vise également à assurer la transparence et une meilleure compréhension par les élus et les usagers des décisions prises, en particulier en période de crues, à l’heure où le Japon subit un drame écologique, et humain, cette signature de ce jour apparaît essentiel pour l’avenir de notre territoire.
Les modalités de gestion des ouvrages sont indiquées dans différentes situations hydrologiques (étiage, crue, crise), et en fonction des saisons.
Les principes de solidarité susceptibles d’être mis en œuvre entre bassins hydrographiques sont également précisés (transfert du secteur Aa Grand gabarit).
Dans le Dunkerquois, il n’existait jusqu’alors aucune règle écrite et approuvée, il faut dire que la gestion des eaux y est très complexe, compte tenu des spécificités hydrauliques (c’est le secteur le plus bas du territoire, il est très influencé par les conditions de marée et certains critères de décision sont difficiles à formaliser) ; l’expérience des opérateurs – les services du Grand Port Maritime Départementale - reste fondamentale en situation de crise ; le développement des outils de supervision mis en place par l’Institution permettent aujourd’hui de préciser les principes de gestion pour les principaux scénarios envisageables.
Les dernières études menées par Stucky, dans le cadre de l’élaboration d’un outil d’aide à la décision, vont permettre de dégager quelques marges de manœuvre en optimisant notamment le stockage dans les canaux.
Des réflexions sont en cours et devront être poursuivies pour améliorer la situation sur les secteurs les plus éloignés des exutoires et notamment pour les eaux en provenance de chez nos voisins flamands.
Après la signature du protocole, il faudra encore poursuivre les réflexions pour définir les modalités de gestion dans les situations les plus critiques (celles où l’on ne maîtrise plus la situation) qu’elles soient prévisibles ou non (panne prolongée d’alimentation électrique par exemple …).
La gestion de notre territoire est complexe mais la mutualisation des moyens, la transparence dans les interventions, nous permettent d’envisager l’avenir de notre polder avec optimisme.
En cliquant sur le lien suivant vous pouvez à partir de 14 h suivre la séance plenière du Conseil général du Nord en direct sur le web
http://www.cg59.fr//FrontOffice/WebTv.aspx
KILLEM :
le mardi 29 mars 2010 de 18 h 00 à 19 h 30 à la Mairie
HONDSCHOOTE :
le mardi 5 avril 2011 de 17 h 30 à 19 h 00 au Point Relais Services (Point Com) – 1, rue de Cassel
WARHEM :
le mercredi 13 avril 2011 de 17 h 30 à 19 h 00 au Foyer Rural
REXPOEDE :
le mercredi 19 avril 2011 de 17 h 30 à 19 h 00 à la Mairie
GHYVELDE :
le samedi 30 avril 2011 de 10 h 00 à 12 h 00 à la Mairie
La Droite n'arrête pas de vouloir faire croire que le PS s'entredéchire alors que nous socialistes débattons sur le fond et sur un projet alternatif à la désastreuse politique que mène l'UMP depuis 10 ans.
Voici ci dessous un florilège d'articles de journaux qui démontrent que la crise politique a bien lieu mais c'est à l'UMP:
*CRISE A L'UMP*
*Libération (Paul Quinio)*
"L'UMP n'a pas encore dix ans,mais toutes ses dents sont déjà de sortie!
Celles de ses principaux leaders rayent en tout cas le parquet : la crise
sans précédent qui secoue la majorité tient, en grande partie, de la
rivalité entre ses chefs que Nicolas Sarkozy, trop affaibli, ne peut plus
contenir. Sans doute le chef de l?Etat parviendra-t-il à maintenir
l'illusion de l'unité de l'UMP jusqu'en 2012. Les déchirements du moment
n?étant, en réalité, que des amusegueule avant la grande explication qui
interviendrait en cas de défaite du Président. Quand la compétition sans
merci démarrera entre ses dauphins. Mais la crise de la droite se nourrit
aussi de l?absence de doctrine claire chez le chef de l?Etat. Nicolas
Sarkozy est un pragmatique inclassable qui trouve aujourd?hui ses
limites...Le chef de l?Etat est un caméléon qui a fini par décevoir toutes
les sensibilités qu?il avait réunies sous un même toit."
*L'Humanité (Patrick Apel-Muller)*
"Le sitcom de l'UMP se poursuit avec ses archétypes : les frères ennemis
Copé-Fillon ; leurs spadassins qui rengainent les dagues au premier sang
coulé ; les girouettes, comme François Baroin qui un jour accepte de
présider le débat sur la laïcité et le lendemain souhaite sa fin ; les muets
du sérail tel Alain Juppé ; ceux qui proclament : +Retenez-moi ou je fais un
malheur+ ; les réprouvés à la Devedjian, désormais embrassé à pleins bras
par la famille Sarkozy... Un débat politique réduit à des pantalonnades. On
pourrait en rire si cela n'ajoutait pas au dégoût qui s'empare de trop
d'électeurs face à ce spectacle. Si la politique en était réduite à cela,
rares sont les citoyens qui voudraient y prêter la main. Certains, dans les
états-majors sarkozyste ou lepéniste, ne regardent-ils pas avec gourmandise
l'abstention croissante dans les quartiers populaires et plus généralement
dans les milieux modestes ? La droite est sanctionnée lors de chaque épisode
électoral depuis 2007 mais elle s'obstine à imposer des mesures
viscéralement rejetées par l'opinion."
*La Croix (Guillaume Goubert)*
"À voir les plus hauts dirigeants de la majorité présidentielle se disputer
publiquement quant à l?opportunité du débat sur la laïcité, on peut se
demander pourquoi Nicolas Sarkozy et Jean-François Copé y tiennent autant.
Ce sujet mérite-t-il de prendre pareil risque de zizanie à un an d?une
élection présidentielle qui ne se présente pas très bien pour Nicolas
Sarkozy et l?UMP ?...Ce choix peut ... s?expliquer par une tactique
politique : occuper un terrain que le Front national cherche sans cesse à
préempter, comme on l?a vu à propos du phénomène très minoritaire des
prières dans la rue, assimilées à une +occupation+ par Marine Le Pen. À tout
cela, on peut ajouter une autre hypothèse. Dans une époque où les
contraintes économiques internationales sont extrêmement fortes sous l?effet
de la mondialisation, les marges de manoeuvre sont faibles sur le terrain
des réformes sociales et fiscales. La tentation est alors grande pour les
partis politiques de mettre en avant des sujets +de société+ permettant
d?afficher à peu de frais (au sens financier du terme) des choix et des
différences...Pour la droite, ce sera la défense d?une certaine identité
française. Mais les préoccupations principales des Français sont autres, ce
sont l?emploi et la justice sociale."
*Sud-Ouest (Bruno Dive)*
Ce que Chirac a fait, Sarkozy va-t-il le laisser défaire ? L'UMP, ce lourd
paquebot de l'unité, ce parti unique longtemps espéré par un électorat de
droite qui n'en pouvait plus des divisions, est en train de se fissurer et
de prendre l'eau. Le P de populaire s'est déjà évaporé au fil des élections.
Voici que l'U de l'union se disloque. Reste le M de mouvement, mais ce sont
des mouvements désordonnés, qui traduisent la panique...Les élections
cantonales ont servi de révélateur...Pour le coup, Nicolas Sarkozy pratique
vraiment la rupture. Rupture avec la neutralité de l'Etat (ou des partis)
vis-à-vis des religions ; rupture avec 65 années d'étanchéité totale de la
droite vis-à-vis de l'extrême droite. Tout cela pour masquer un échec sur
les questions essentielles que sont pour les Français le pouvoir d'achat,
l'emploi, la justice fiscale et sociale. Ces débats internes à la droite
recoupent des convictions, sans doute sincères, mais aussi des
arrière-pensées stratégiques. Quand Copé tacle Fillon, il exprime un
mouvement d'humeur, mais il vise aussi un possible rival pour 2017. Il est
rare en tout cas que le secrétaire général du parti majoritaire s'en prenne
ainsi au Premier ministre...Au moins les héritiers de Mitterrand avaient-ils
attendu sa réélection pour s'affronter au grand jour. Les alliés, féaux ou
associés de Sarkozy (qui n'a d'héritier que son fils Jean) n'ont pas de ses
pudeurs. Ils n'attendent même pas sa réélection. Comme s'ils craignaient à
moins qu'ils ne l'espèrent - que celle-ci n'ait jamais lieu."
* *
*La Voix du Nord (Hervé Favre)*
"Hier, après un petit déjeuner épicé autour de Nicolas Sarkozy, l'UMP a
surjoué +l'unité+. Il le fallait après l'attaque en piqué de Jean-François
Copé contre le Premier ministre lundi soir au Grand journal de Canal+.
François Fillon, accusé par le secrétaire général de l'UMP de +ne pas jouer
collectif+, ni sur le débat sur la laïcité ni sur le refus du +front
républicain+ pourtant décidé à l'Élysée, a eu hier matin une explication de
texte avec Copé. Le patron du mouvement veut bien prendre les coups en
assumant la feuille de route de Nicolas Sarkozy ; à condition que le Premier
ministre en prenne sa juste part. En faisant savoir qu'il s'opposerait à un
débat qui +stigmatiserait les musulmans+ puis en appelant devant les députés
à voter contre le FN, François Fillon a surtout pris ses distances avec le
président de la République, et c'est encore plus révélateur du malaise au
sein de la majorité que l'incident avec Jean-François Copé...L'extrême
nervosité de l'UMP a bien comme toile de fond les doutes grandissants sur la
capacité de Nicolas Sarkozy à se faire réélire."
*Le Courrier Picard (Didier Louis)*
"On a presque envie d'écrire, en ce lendemain de défaite électorale pour la
majorité, fratricide, que le PS a treize mois pour perdre la présidentielle
et Nicolas Sarkozy autant pour remonter la pente et espérer l'emporter. La
charge féroce de Jean-François Copé contre François Fillon - tout de même le
patron du parti présidentiel accusant le chef de la majorité de manquer à la
solidarité envers l'UMP dans le débat sur la laïcité initié par le chef de
l'État - montre que la droite est au bord, sinon de la crise de nerfs, du
moins de l'implosion...Au coeur de la tempête, Nicolas Sarkozy. La sanction
des urnes l'a affaibli un peu plus. Il n'est plus le chef incontesté de son
camp."
*Le Journal de la Haute-Marne (Patrice Chabanet)*
"Officiellement, François Fillon et Jean-François Copé ont enterré la hache
de guerre. Ils n'avaient pas vraiment le choix. C'est Nicolas Sarkozy qui a
imposé un +halte-au-feu+ aux deux hommes. Faute de trêve, c'était la droite
qui implosait en plein vol. Mais la trêve n'est pas la paix. Et la braise
est toujours là sous la cendre. Le patron de l'UMP a bien pris soin de
préciser qu'il avait été excessif sur la forme mais que sur le fond il
restait sur ses positions. François Fillon n'a rien dit, mais la sourde
inimitié qu'il entretient avec Jean-François Copé n'a sans doute pas fondu
comme neige au soleil. Il s'agit maintenant pour Nicolas Sarkozy de recoller
les morceaux, et pas seulement au sommet. Sans doute encouragés par les
petites phrases assassines à ciel ouvert des ministres et des dirigeants de
l'UMP, les députés de base sont traversés par le doute, et ils l'expriment
ouvertement. Les jets continus de sondages défavorables pour le chef de
l'Etat ajoutent à leur désarroi. Eux n'ont pas besoin d'instituts
spécialisés. Ils constatent l'érosion présidentielle dans leur
circonscription."
* *
*Paris Normandie (Michel Lepinay)*
"Il flotte comme +un parfum de machine à perdre+. C'est le député UMP de
Paris Bernard Debré qui parlait ainsi hier. Le même s'interrogeait la
veille: +Où est passé le chef de la majorité ?+, et attendait de Nicolas
Sarkozy qu'il remette de l'ordre dans son entourage. Mais ses appels à
l'unité ne l'empêchait pas à son tour de demander +qu'on arrête les débats
stupides+... Du genre de ceux que souhaite le président à propos de la
laïcité ? Bref, hier soir, malgré les pétitions de principe de Jean-François
Copé et François Fillon, affirmant tous deux, au sortir de l'Elysée, que
+l'incident est clos+, la polémique n'était pas encore retombée. Le cocktail
échec aux élections cantonales, plus débat sur la laïcité, plus poussée du
Front national, est un véritable poison pour la majorité...Le suplice de
printemps n'est pas encore terminé. D'autant que lorsque la machine
présidentielle cahote, les pièces rapportées sont tentées de reprendre leur
autonomie. Hier matin Jean-Louis Borloo n'excluait pas de partir à la
présidentielle au nom du centre, si le programme de l'UMP ne devait pas
correspondre aux aspirations de +la gauche de la majorité+... Du côté de la
gauche tout court, évidemment on se marre, en voyant le parti majoritaire
dans tous ses états."
*La République du Centre (Jacques Camus)*
"Qui, pourtant, pourrait croire un seul instant en cet +armistice+ à l?UMP?
Qui pourrait imaginer qu?à peine déclarée, la +guerre des chefs+ est déjà
terminée? Bien au contraire, les résultats des cantonales ont disloqué les
rangs, au-delà de ce que l?on imagine. Drôle de paix d?ailleurs, qui a
conduit Jean-François Copé, l?insolent général en chef des troupes
majoritaires, à regretter mollement son agression contre François Fillon,
tout en ajoutant qu?il n?avait rien à retirer de ses propos sur le fond.
Drôle de ralliement que celui de Jean-François Baroin, franc-tireur
chiraquien, refusant de corriger le tir contre des débats inutiles pour
réaffirmer ses convictions. Il a fallu une belle aptitude à l?indulgence de
François Fillon, tête galonnée du gouvernement, quasiment accusé de
désertion, pour estimer que l?incident de frontières était clos. En vérité,
la droite s?abandonne de nouveau aux poisons de la division. Mais il ne faut
pas s?y tromper : derrière la rivalité Fillon-Copé se cache en réalité un
vif antagonisme entre Fillon et Nicolas Sarkozy. Ainsi vient-on de renouer
avec la fatalité des déchirements de l?exécutif qui ont jalonné l?histoire
de la Ve République...La gestion catastrophique du remaniement
gouvernemental de l?automne dernier a modifié la donne et affaibli Nicolas
Sarkozy, contraint de reconduire François Fillon. Celui-ci ne craint plus,
aujourd?hui, d?afficher ses valeurs et de se démarquer de celui qui est de
moins en moins son mentor. À coup sûr, Nicolas Sarkozy, chef de guerre en
Libye, aura du mal à retrouver l?autorité du chef de paix en France."
* *
*Le Républicain Lorrain (Philippe Waucampt)*
"Jusqu'ici, le mouvement était feutré car il se limitait à la haute
administration. Dans les cabinets ministériels, en effet, chacun ne pense
plus qu'à une chose : assurer son reclassement dans l'hypothèse d'une
défaite de Nicolas Sarkozy à la présidentielle. Cette fois, avec les
politiques, c'est plus bruyant. Les cantonales ont libéré la parole dans la
majorité. Et l'UMP se donne des allures de bateau ivre que le cessez-le-feu
obtenu hier par le chef de l'Etat entre François Fillon et Jean-François
Copé n'arrive plus à masquer. Organisé par le locataire de l'Elysée en
personne pour mieux se tenir au-dessus de la mêlée, le petit jeu des
ambitions et du marquage à la culotte démontre aujourd'hui son caractère
mortifère...C'est cette éventualité d'une élimination au premier tour qui,
aujourd'hui, dévalue l'autorité du président sur les siens. Les stratégies,
désormais, s'élaborent en fonction d'une défaite en 2012 afin de mieux
rebondir en 2017 si la gauche n'est pas de taille à affronter les défis
colossaux qui attendent le pays au soir de la présidentielle. C'est dire la
confiance qui règne à droite."
*Nord-Eclair (Patrick Pépin)*
"Les couacs se multiplient à l'UMP. Les rappels à l'ordre du Président de la
République à l'endroit de certains des hiérarques de son parti sont légion.
La valse des affirmations, des repentirs et des nouvelles déclarations
prouvent que la machine est grippée...Sous les coups de boutoir de défaites
électorales successives (municipales, régionales, cantonales) ; d'une
gestion trop personnelle de la vie du pays, et au-delà du parti ; d'erreurs
politiques comme celles de la candidature de Jean Sarkozy à la tête de
l'EPAD ou bien de l'affaire des Roms ou bien encore du débat sur l'identité
nationale ; de la poussée du Front National sur le plan électoral, les
caractéristiques propres à chacune des familles politiques ont ré-émergé. Le
ciment qui tenait le tout s'est effrité au fil des années...Les fractures
qui se sont faites jour au cours des cantonales sont lourdes...Tant que le
Front National restera haut dans les sondages et dans les urnes, nul doute
que les écarts en termes de stratégie politique ne pourront que se creuser.
Le couteau est dans la plaie et il n'est pas prêt d'en sortir."
*L'Union/L'Ardennais (Hervé Chabaud)*
"L?UMP est devenue la boîte à dégâts de la droite républicaine ! On y prône
l?unité mais on y sème la division. On dégoupille, on flingue, on balance,
on casse, Copé en tête. Il fait mieux colt au poing que les frères Dalton
réunis. Ce n?est plus un parti politique et une machine à gagner les
élections mais un champ de bataille. Les alliés s?y tirent les uns sur les
autres et concourent pour le plus beau tableau de chasse de leurs
turpitudes. C?est un psychodrame en direct. Les propos véhéments tenus
contre le Premier ministre sont une connerie capable de s?achever en 2012
par une rouste monumentale. La droite donne d?elle-même une image lamentable
où la perte de sang-froid semble la nouvelle règle de conduite qui, à
l?échec des urnes ajoute la stupidité des conséquences tirées. Lundi matin,
François Baroin avait eu l?intelligence de s?avancer en démineur de tête
d?un terrain méchamment piégé. Il a été stoppé dans son élan. Depuis les
pétards pètent tous azimuts et les blessures ne sont pas virtuelles...Si ce
climat délétère persiste, beaucoup vont quitter le navire avant qu?il ne
soit envoyé par le fond."
* *
*Le Midi Libre (François Martin)*
"Rien ne semble sourire au parti majoritaire. La défaite des cantonales aura
fait office de détonateur au sein d?un mouvement, désormais, tiraillé par
les courants. Affaibli par les querelles personnelles. Bousculé par
l?irruption du FN. Au milieu de ce champ de mines, Sarkozy apparaît démuni.
Un général dont l?étoile pâlit. Semaine après semaine. Sondage après
sondage. Sarkozy ou le désamour des Français. Le désamour à droite. Dès
lors, la question brûle les lèvres : lui, le candidat naturel, doit-il se
représenter en 2012 ?
Sa situation se complique. Sa souveraineté est mise à mal. Son autorité
contestée. Le remaniement de 2010 porta le premier coup. Sarkozy, obligé
d?avaler la couleuvre Fillon. Les cantonales et la consigne sur le FN
ajoutèrent à la confusion. Stratégie droitière, débat sur la laïcité, mots à
maux sur l?immigration ont provoqué révolte et incompréhension. A quoi songe
le chef de l?État tous les matins en se rasant ? A la crise économique qui
plombe ses résultats, à l?usure du pouvoir, à son style dérangeant, aux
revers électoraux ? A tout ce qui a contribué à détériorer l?image de sa
présidence. Son beau miroir reflète d?autres visages. Ceux plus sages de
Fillon ou Juppé. Ceux qui vampirisent - à leur corps défendant ? - la
popularité exsangue de Sarkozy."
*Vosges Matin (Gérard Noël)*
"Comme son nom l'indique, l'UMP a été constituée d'abord pour défendre la
politique du président, ensuite pour lui faire un certain nombre de
suggestions, enfin pour l'alerter lorsque telle ou telle de ses décisions
est jugée contre-productive. C'est ce cas de figure (contestation par une
partie des élus du débat sur la laïcité et l'islam) qui met aujourd'hui le
parti majoritaire en état avancé de crise de nerfs...Le Premier
ministre...en a visiblement assez des actes de braconnage sur les terres du
FN. Il juge cette orientation néfaste et le fait savoir. Est-il admissible
qu'un chef de gouvernement soit repris de volée par un chef de parti?
Certainement pas, s'irritent ceux qui, François Baroin et Laurent Wauquiez
par exemple, refusent la surenchère avec l'extrême-droite. L'UMP est à la
croisée des chemins. Nicolas Sarkozy a-t-il encore une mainmise suffisante
sur son parti pour lui imposer sa stratégie (la ligne Guéant-Copé)? Et cette
stratégie peut-elle faire de l'UMP une machine à gagner en 2012? Le doute
est permis."
Que tout celà soit bien clair !!!
Dans mon message perso précédent, je ne m'adressais pas au politicien qui veut assurer sa réelection en amadouant les électeurs du front national , à chacun sa conscience.
Non je m'adresse à celui que j'ai connu qui me parlait de son admiration pour Albert Denvers, pour Michel Delebarre qui se disait rassembleur et ami de tous, etc ...
Celui que je respectais.
Aujourd'hui il nous dit clairement :
les candidats FN et les candidats PS c'est la même chose
Nous, nous respectons la république nous n'avons pas attisé la haine de l'autre, pas parlé des fours crématoires comme un détail de l'histoire, nous avons voté pour chirac pour faire barrage à Le Pen ...
et pourtant il nous dit " FN/PS c'est pareil ".
Et tout celà pour gagner quelques voix !
Ne pas vouloir choisir c'est favoriser l'arrivée au pouvoir d'élus qui crachent sur la République.
Mr Decool, est-il favorable à la sortie de la France de l'europe ? au retour au franc ?
Entend il l'appel de l'église qui demande de rejetter le vote FN ?
Non il compte des voix
et bien moi j'ai honte.
voilà !
Moi je reste dans le camp des démocrates et de la République.
ALLEZ ON EST ENTRE NOUS JE VAIS VOUS LIVRER UNE CONFIDENCE ...
Il y a quelques années, aprés l'élection de Monique Denise comme Députée , mon ex beau-frère Jacques Adrianssen dont je suis resté trés proche me téléphone :
"Jean ! Jean-Pierre Decool va mal et il veut tout arrêter .
Es-tu d'accord pour manger avec lui un midi à Brouckerque ? "
Et je dis oui !!
Ce que je regrette aujourd'hui, suite au positionnement de Mr Decool mettant sur un pied d'égalité le PS parti démocratique et le FN parti neo- fasciste, enfant des mussolini et hitler ..
Nous mangeons, ensemble remontons le moral d'un adversaire politique que je respectais à l'époque ...
et aujourd'hui par pur calcul politicien afin d'amadouer les électeurs FN, Mr Decool rejoint une groupe de députés UMP qui ne font aucune différence entre le PS et le front national!!!!
Mr Decool comme l'a dit votre collègue UMP Valérie PéCRESSE, qui a affirmé choisir le CANDIDAT PS dans le cadre d'un duel PS contre FN:
" AVEC LE PS NOUS N'AVONS PAS LES MEMES IDEES MAIS NOUS AVONS LES MEMES VALEURS".
Et bien vous et moi, n'avons plus les mêmes valeurs et tout celà pour un poste de Député !!!
Dans la presse nationale, j'ai appris avec surprise que le Député DECOOL fait partie des 44 députés UMP du collectif de la Droite populaire (aile droite de l'UMP) qui prône le "ni FN, ni PS" en cas de duel entre ces deux partis au second tour des cantonales.
C'est étrange cette position pour un élu qui ne cesse de rappeler qu'il n'est pas membre direct de l'UMP et qui se veut être un rassembleur. Dans le cas, sur son territoire où un duel FN/PS, il se prononcerait en faveur du NI-NI, mettant ainsi au même niveau le Parti Socialiste et le parti de l'extreme droite, de la xénophobie et du rejet de l'autre.
Je suis très déçu de cette position, moi en tant qu'élu républicain, en 2002, je n'ai pas hésité à voter le candidat UMP pour faire un barrage républicain au FN .
Les élections législatives sont prévues dans 1 ans, je serai très attentif à rappeler aux électeurs ce positionnement !
Décidemment, Mr DECOOL, nous n'avons plus les mêmes valeurs!
Je tiens ici à préciser que cette information est vérifiable sur le site du Parisien.fr
Ce dimanche 20 mars, j'invite tous les lecteurs de mon blog qui ne sont pas de mon canton à voter et à faire voter pour les candidats du PS et soutenus par le PS dans les cantons renouvelables.
Notre bilan est largement favorable, même un élu UPN le dit dans sa campagne dans la pévèle, nos propositions et projets sont ambitieux afin d'instaurer un véritable bouclier social face à la casse systématique de notre modèle par l'UMP et Tsarko1er.
J'ai parcouru le département pour participer ici et là à des réunions de travail avec les élus socialistes en campagne, et le retour nous est très favorable. D'ailleurs je signale que la majorité de gauche ne sera pas remise en question à l'issue du scrutin.
Un petit focus sur le canton de Bergues où mon amie et collègue Monique DENISE a fait le choix respectable de ne plus se représenter. Elle soutient Jean Luc DARCOURT pour le renouvellement. Je suis évidemment de tout coeur avec mon ami Jean Luc qui, avec Brigitte DOUAY, 1ere adjointe de Bergues font une campagne active et difficile car en face il y a un candidat masqué, un UMP qui n'ose se dévoiler et qui utilise des méthodes dignes de son leader à l'élysée.
Aujourd'hui, alors que la campagne semblait respectueuse, ce candidat UMP a diffusé un tract qui a blessé plus d'un élu berguois et de nombreux habitants d'Armbouts Cappel. (voir le blog de Jean Luc DARCOURT: www.bergues.org)
Il ose rapporter des propos de Brigitte DOUAY lors d'un conseil communautaire de la CCCB alors qu'en vérifiant le compte rendu officiel de ce conseil, les propos repris ne sont pas du tout ceux que colporte le bonimenteur candidat de droite.
Il espérait faire un coup (tordu) en pensant qu'aucune réaction ne serait possible faute de temps. Mais il se trompe, comme il s'est d'ailleurs déjà trompé en 2004 face à Monique DENISE.
L'équipe du comité de soutien de l'équipe de gauche du Conseil Municipal de Bergues a réagi car ils se sont sentis humiliés et injustement attaqués.
Je vous propose de lire ci dessous ce tract diffusé ce vendredi après midi, et comme il s'agit d'une réponse il peut encore être distribué sur Bergues demain:
Méfions nous du faux-mage de Bergues !
Le président de notre CCCB, délégué UMP du secteur, et actuel candidat Sarkozyste aux élections cantonales a fait distribuer un papier par les militants UMP dans vos boîtes ce vendredi 18 mars à seulement deux jours du premier tour du scrutin.
Après avoir sur fond bleu brossé un portrait mégalomaniaque de sa personne, il vomit un tissu de mensonges !
A chaque scrutin la droite locale brandit comme un épouvantail le rattachement de Bergues à la CUD ;
Monique Denise (ancienne vice présidente à la CUD) a été élue Députée, puis Conseillère Générale, Claude Cornelis, maire d'Armbouts-Cappel (déjà), a été élu Conseiller Général, l'équipe de la Gauche Citoyenne Renouveau gère la municipalité de Bergues, et nous sommes toujours dans notre CCCB.
Certes depuis mars 2008 les élus de Bergues, humiliés, sont exclus de l’exécutif, car c'est ainsi que le président de la CCCB, idéologue et sectaire, a puni les Berguoises et Berguois par dépit .
Nous pourrions poser quelques questions au président de notreCCCB sur des dossiers dont il est l'instigateur :
Où est la Mission locale chargée d'aider les jeunes en recherche d'emploi ?
Le transport à la demande qui s'enlise depuis plus de trois ans ?
Mensonge du président :
Pour rétablir la vérité, rappelons les propos de Madame Douay concernant la réforme territoriale: « Mme Douay précise qu'un projet de loi est en cours d'étude au parlement et son article 16 prévoit que le schéma sera étendu au territoire du SCOT » loi de l'UMP
cf: http://www.cccbergues.org/publication/CR%20CC%2023%2006%202010.pdf
Sur le même procès verbal on peut comprendre que le président de notre CCCB a déjà engagé dès juin 2010 une action personnelle pour se rapprocher d'autres communautés de communes sans en informer ni son conseil, ni son bureau !
Heureusement, vos élus et représentants à la CCCB sont compétents et respectueux de la loi.
Berguoises, Berguois, sanctionnons le mensonge:
IPNS Le comité de soutien « Renouveau à Bergues »