Un conducteur de voiturette âgé de 70 ans a reçu une amende pour avoir roulé à 127 km/h dans son véhicule, pourtant bridé à 50 km/h. C'est le quotidien Ouest-France qui révèle l'information, précisant que l'homme a été verbalisé trois fois au total pour des excès de vitesse supérieurs à 50 km/h.
Une usurpation de plaques d'immatriculation pourrait être à l'origine de sa mésaventure. Lorsqu'il a voulu porter plainte, les gendarmes ont néanmoins expliqué au contrevenant supposé «qu'ils ne pouvaient rien faire car tout est informatisé». Il a donc dû payer la première amende, en se faisant promettre le remboursement.
leparisien.fr
Quand je lis ( dans la Voix du Nord ... ) que
2 " militants" de Lille portent plainte avec avocat contre leur parti pour une erreur d'une voix, un bulletin blanc qui se transforme en vote Martine , erreur ensuite rectifiée, je demande du calme et du sang froid !
Le juge qui va etre saisi de cette affaire hyper grave peut si il le souhaite venir perquisitionner les locaux du PS , interpeller le premier secrétaire etc ...
Rappelez vous cette vidéo , ce preneur de son du service public qui oublie de dire bonjour à son éminence ( on est obligé ?) -n'oublions pas que Tzarko 1er a depuis longtemps fait comprendre qu'il allait "s'occuper personnellement de ces médias qui osaient lui résister -"
et bien voilà TZARKO 1 er le fait : il massacre le service public !
Ce qui me fait toujours sourire ou plutot ricaner, c'est de penser que parmi les victimes de ce massacre , certaines avaient voté pour sa petite éminence !!!
Bonjour,
Ayant pris connaissance de l'appel public contre le travail le dimanche maintenant soutenu par 58 députés de la majorité, je tenais à vous encourager dans cette initiative et à tout faire pour que la proposition de loi ne soit pas examinée au Parlement.
Cordialement,
Jean Claude MAILLY
La CGPME partage les réserves des parlementaires
La CGPME partage les réserves exprimées aujourd'hui par voie de presse par une cinquantaine de parlementaires qui considèrent, à juste titre, que "la hausse du pouvoir d'achat ne se décrète pas par l'ouverture des commerces le dimanche". Si l'intérêt économique d'une telle mesure est éminemment contestable, ses conséquences sociales risquent de s'avérer catastrophiques, en particulier pour le commerce de proximité.
La CGPME qui aime à rappeler qu'elle place l'Homme au centre du libéralisme tempéré qu'elle préconise depuis toujours, refuse à l'instar de ces parlementaires de le réduire à un simple consommateur.
21/11/2008
La CFTC apprécie le geste des députés de la majorité
La CFTC se félicite de la prise de position de 48 députés de la majorité contre le projet du gouvernement d'ouvrir certains commerces le dimanche.
Durant toute l'année 2008, elle a fait du lobbying sur ce thème auprès des députés de la majorité comme de l'opposition pour les convaincre de repousser ce projet gouvernemental.
Le projet de loi sur le travail du dimanche, porté par Richard Mallié, le député de Plan-de-Campagne, est un exemple des décisions importantes qui sont prises par des élus pour des raisons idéologiques, même si elles se parent du masque de la liberté, alors qu’elles ignorent complètement la réalité de l’entreprise.
En effet, il faut ne jamais avoir mis les pieds dans une entreprise pour penser que le volontariat des salariés constitue une garantie suffisante à la préservation de leurs intérêts.
Alors que notre économie entre dans une phase de ralentissement, que les annonces de suppressions de postes se succèdent dans un pays qui compte déjà 2 millions de chômeurs, combien de salariés prendront le risque de repousser les demandes de leur employeur?
Au niveau financier, s’il y a véritablement un coup de pouce avec le doublement des salaires versés ce jour-là, on imagine que les personnes concernées, pourront d’autant moins refuser de travailler le dimanche qu’elles sont dans des secteurs d’activité (restauration, commerce…) où les salaires sont peu élevés.
La CFTC s’inquiète également de tous ceux qui travaillent déjà le dimanche, à des conditions salariales plus désavantageuses et qui doivent voir leur situation financière s’améliorer.
Jacques Voisin, Président
Merci à Marc P
«Les problèmes de l’appareil reproducteur masculin sont aujourd’hui potentiellement aussi graves que le réchauffement climatique», assène le professeur danois Niels Skakkebaek, directeur de recherche à l’hôpital universitaire de Copenhague, l’un des principaux intervenants du captivant documentaire présenté par Arte ce soir, «Mâles en péril».
Dans les pays industrialisés, on observe depuis cinquante ans une diminution de l’ordre de 50 % du nombre et de la qualité des spermatozoïdes, un doublement de l’incidence du cancer des testicules et une multiplication de certaines malformations génitales chez l’homme. Ce que retrace le documentaire de Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade, c’est l’extraordinaire aventure de la poignée de chercheurs, européens et américains qui ont tenté, depuis quinze ans, de comprendre et de relier ces faits, puis de les expliquer.
Au banc des accusés, de nombreuses molécules chimiques auxquelles nous sommes tous exposés dans notre vie quotidienne et qui interagissent avec les hormones, perturbant certaines fonctions : croissance, développement, comportements, reproduction, production, utilisation et stockage de l’énergie.
Baptisées «perturbateurs endocriniens», ces molécules de synthèse peuvent imiter, gêner, voire entraver l’action d’une hormone naturelle. Il s’agit, par exemple, des PCB, des retardateurs de flamme, des phtalates, des pesticides ou encore d’œstrogènes synthétiques comme le bisphénol A, utilisé notamment dans la fabrication d’un plastique dur transparent, le polycarbonate, que l’on trouve dans de nombreux produits de consommation comme les bouteilles d’eau et les biberons. Et dont le Canada vient de limiter l’utilisation.
Et plus généralement des 85 000 molécules chimiques mises sur le marché depuis cinquante ans et dont on ignore l’impact sur la santé et l’environnement.
Avec sobriété mais efficacité, ce documentaire en forme de thriller scientifique montre comment l’hypothèse de la responsabilité de ces molécules s’est peu à peu construite, malgré les pressions des industriels et l’incrédulité d’autres scientifiques. Comme un puzzle, avec des éléments complètement épars, que personne n’aurait songé à relier, et d’abord, toujours, la surprise des chercheurs, le refus de croire à leurs résultats tant ce qu’ils découvraient bouleversait les connaissances.
«Les scientifiques que nous avons rencontrés et filmés dans cette enquête sont des personnages étonnants», soulignent les réalisateurs sur le site d’Arte. «Face à des données inattendues, ils ont su se remettre en cause et être créatifs ; au moment de publier leurs résultats, ils ont su résister aux pressions des industriels. Aujourd’hui, ils n’hésitent pas à sortir de leurs laboratoires pour porter le débat sur la place publique.»
Car, ajoutent les réalisateurs, la découverte de ces «perturbateurs endocriniens» interroge. «En premier lieu, les pouvoirs publics: comment contrôle-t-on les milliers de molécules chimiques fabriquées par l’homme depuis 50 ans ? Des molécules lancées sur le marché avec pour seules analyses… celles effectuées par les industriels eux-mêmes.»
En 2006, et malgré un lobbying intense de l’industrie chimique pour l’empêcher, un tournant s’est néanmoins produit, avec l’adoption par l’Union européenne de la directive Reach, qui révise tout le système d’homologation des molécules chimiques en Europe et inverse la charge de la preuve en obligeant les industriels à prouver l’innocuité de leurs produits. Reste à l’appliquer évidemment, ce qui prendra du temps. Et ne dispense pas les pouvoirs publics de limiter l’utilisation des produits suspects d’ici là.
France Télévisions en grève. Le gouvernement se veut rassurant : l’Etat mettra la main à la poche. 450 millions d’euros !
Tiens donc, je pensais qu’il n’y avait plus d’argent dans les caisses.
Source :
http://www.liberation.fr/medias/0101268549-la-loi-sur-l-audiovisuel-public-a-l-assemblee-les-personnels-dans-la-rue
Les syndicats de France Télévisions s'inquiètent du financement du groupe après la décision de Nicolas Sarkozy en janvier dernier de supprimer la publicité.
Les députés entament mardi en fin d'après midi l'examen du projet de loi réformant l'audiovisuel public, tandis que l'intersyndicale du secteur prévoit une "forte mobilisation" des salariés appelés à faire une grève de 24 heures et à manifester à Paris.
Le projet de loi n'a cessé de susciter des controverses depuis l'annonce de la décision du président Nicolas Sarkozy de supprimer la publicité à France Télévisions en janvier dernier.
Ces dernières semaines, il a fait l'objet de retouches diverses devant la commission parlementaire spéciale chargée de l'examiner, ce qui laisse augurer une sérieuse bataille d'amendements animée par la gauche et le Modem devant l'Assemblée.
Les syndicats de France Télévisions, mais aussi les professionnels, producteurs, scénaristes, auteurs, s'inquiètent aujourd'hui du financement du groupe public. Même si le gouvernement garantit les 450 millions d'euros annuels de manque à gagner résultant de la suppression de la publicité en soirée dès le 5 janvier 2009.
Ils redoutent également un plan de départs "volontaires" de 900 collaborateurs évoqué par le patron de France Télévisions Patrick de Carolis, et qui ne seraient pas remplacés. "Les gens qui partent à la retraite, il y en a beaucoup qu'il ne faudra pas remplacer", a d'ailleurs répété lundi Frédéric Lefebvre, l'un des porte-parole de l'UMP.
Les syndicats ont appelé à un rassemblement au pied de la tour Eiffel à partir de midi avant de gagner l'Assemblée nationale. "Nous sommes en colère parce que les dégâts vont être immenses" pour l'emploi et la qualité des programmes, estime Carole Petit, déléguée SNJ de France Télévisions.
"La mobilisation s'annonce très forte, notamment dans les bureaux régionaux de France 3", a renchéri Jean-François Téaldi, au nom du SNJ-CGT, insistant sur les "incertitudes" qui pèsent sur le financement du groupe.
Dans l'hémicycle, la gauche et le Modem devraient animer la bataille des amendements alors que le texte fait grincer des dents jusque dans les rangs de la majorité, tant à l'UMP qu'au Nouveau centre.
Le projet de loi étant examiné en urgence, le vote interviendra le 9 décembre à l'Assemblée nationale, avant le passage devant les sénateurs dès le lendemain.
Allez voir cette courte vidéo "réglement de compte à l'UMP " sur you tube zapping le monde !
en fait au PS on est des gamins par rapport à leur façon de prendre le pouvoir !
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Pour les avocats de Dominique de Villepin, Nicolas Sarkozy a "violé le droit au procès équitable" et le "principe de l'égalité des armes" dans le dossier Clearstream. Dans un mémoire transmis lundi 24 novembre au Conseil d'Etat, un des avocats de l'ancien premier ministre explique que "le détournement de pouvoir auquel le président de la République s'est livré, en maintenant Henri Pons dans ses fonctions, dans le seul but de poursuivre l'information dans laquelle il est partie civile, constitue à l'évidence une violation du principe de l'égalité des armes et, plus largement, du droit au procès équitable". Dominique de Villepin, renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris pour "complicité de dénonciation calomnieuse" dans l'affaire Clearstream, avait saisi le 7 novembre le Conseil d'Etat contre un décret du président Sarkozy prolongeant les fonctions d'Henri Pons, un des juges chargé du dossier.
Dans le document de 24 pages transmis aujourd'hui au Conseil d'Etat, l'avocat de l'ancien premier ministre s'attache à démontrer comment la constitution de partie civile du chef de l'Etat a pu, selon lui, influer sur l'instruction du dossier, sur les réquisitions du parquet et sur l'ordonnance de renvoi signée par les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons. "Il importe de souligner qu'il [ce détournement de pouvoir] apparaît d'autant plus éclatant lorsque l'on observe le comportement adopté par le président de la République, partie civile, dans l'affaire en cause", écrit l'avocat, selon qui "M. Sarkozy, s'estimant visé par la dénonciation calomnieuse, a clairement laissé apparaître qu'il utiliserait tous les moyens mis à disposition pour obtenir satisfaction".
Les partisans de Ségolène Royal ont lancé un ultimatum au camp Aubry, réclamant la prise en compte immédiate de leurs contestations sur le scrutin qui a conduit à l'élection d'extrême justesse de la maire de Lille à la tête du PS. (Reuters/Régis Duvignau)
Dans un communiqué, le maire de Dijon, François Rebsamen, demande que l'on examine les contestations venant de Lille avant mardi 14h00, "faute de quoi nous saisirons la justice et appellerons à une manifestation devant le siège du Parti socialiste, rue de Solférino".
"Il ne peut y avoir de passage en force sur un vote dont la sincérité est mise en cause", ajoute l'ancien directeur de la campagne présidentielle de Ségolène Royal en 2007.
Une commission chargée d'examiner les contestations fédération par fédération a travaillé pendant six heures lundi sans trouver de sortie de crise.
Selon les résultats diffusés samedi par la direction du PS, Martine Aubry l'a emporté sur Ségolène Royal avec 42 voix d'avance.
La "commission de récolement" doit se réunir à nouveau mardi après-midi au siège du PS avant le Conseil national chargé de proclamer les résultats officiels, mardi soir.
Selon plusieurs dirigeants socialistes interrogés par Reuters, les litiges examinés jusque-là ne sont pas de nature à changer le résultat annoncé samedi, à savoir l'élection de Martine Aubry même d'un cheveu.
Toute la journée, Ségolène Royal a répété que la seule issue possible était à ses yeux l'organisation d'un nouveau tour de scrutin "clair et incontestable", une option rejetée par quasiment tout le monde à l'exception de ses proches.
"Qui a peur du vote des militants ?", s'est-elle interrogée sur France Inter. "Je pense que je suis majoritaire dans les urnes", a-t-elle renchéri dans la soirée sur Canal+.
Selon un sondage BVA pour France Inter rendu public lundi, 71% des Français, et 66% des sympathisants socialistes, estiment que la présidente de la région Poitou-Charentes a tort de ne pas reconnaître sa défaite.