
Qui a dit :
« A la télé, les journalistes m’auraient fait chier, avec leurs questions à la con ».
Un jeune ? Car, c ’est bien connu, tous les jeunes sont irrespectueux… ce n’est plus comme avant…nous, nous n’aurions jamais osé dire de telles choses…
Un jeune donc ? Que nenni !
Notre cher TSarko 1er !
Il y en a qui devraient se nettoyer la bouche
…au Kärcher ©
Reprise des cours de flamand et des causeries dans l’arrondissement de Dunkerque
http://www.anvt.org/index.php?lang=fr
Akademie Voor Nuuze Vlaemsche Taele Institut de la Langue Régionale Flamande Steihuus - Hôtel de ville 59670 Kasselberg - Cassel www.anvt.org Vlaemsche Boeken en Geschryften Senter - Centre de Ressources Documentaires Carnot straete, 44, rue Carnot - 59114 Steenvoorde 1ste staege - 1er étage Open 'n eersten zaeterdag van elk maend van ten negenen toet ten noene Ouvert tous les premiers samedis du mois de 9 heures à midi |
Qui a dit :
« On a les mêmes problèmes que tous les autres pays, mais en plus on a Lagarde? Dans sa tête, elle est toujours avocate d’affaires, et il n’y a pas une erreur qu’elle hésite à faire. »
La Gauche ? Que nenni !
C’est notre cher TSarko 1er
Mais au fait, qui a bien pu nommer une telle ministre ?
Hier, je me suis rendu à Saint Omer pour saluer et remercier l'équipe de l'Institution qui travaille avec acharnement pour protéger notre territoire.
Je tiens ici à les mettre à l'Honneur et à les féliciter pour leur dévouement.
Voici une photo de l'équipe qui m'aide dans mon action:
de gauche à droite:
Stéphane VANHEE
Votre serviteur
Tony BUTIN
Nadège BUSZ
Philippe PARENT (Directeur)
Il y a la traditionnelle visite du Président de la République au salon de l'Agriculture. Il y a cette année, au salon de l'Automobile, la visite de la présidente de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal.
Madame Royal présente trois prototypes de véhicules électriques bon marché créés par des industriels de sa région. Retour sur une idée fixe.
En janvier dernier, Ségolène Royal, présidente de la région Poitou-Charentes, lançait un projet ambitieux de voiture électrique régionale.
Le projet prenait la forme d'un appel aux initiatives, tant privées que professionnelles, pour tenter de produire, d'ici 2010, une voiture électrique régionale. Trois critères devaient être remplis par chaque candidature : que l'automobile produite ne coûte pas plus de 5000 euros à l'achat neuf, que le modèle n'émette pas plus de 60 g de CO2 par km et enfin que la production se fasse en circuit court afin de limiter l'impact sur l'environnement.
Trois projets avaient été retenus plus tôt dans l'année pour voir la naissance de la voiture électrique régionale. Et les vainqueurs étaient : Heuliez, Diedre-Endeavour et Eco&Mobilité.
Le "Friendly" d'Heuliez est un véhicule à trois places, de 2,5 m de long, avec un siège conducteur central et deux places arrière, et un coffre de 400 litres, avec deux portes coulissantes.
D'un poids de 500kg, il présente une autonomie de 100 à 300 km, selon le nombre de batteries Ni/Mh (accumulateur nickel métalhydrure), pour une vitesse pouvant atteindre 110 à 130km/h selon les versions. Le PDG d'Heuliez Paul Quévaut envisage une production de 10.000 véhicules par an à Cerizay (Deux-Sèvres). Il est destiné aux flottes d'entreprises ou de collectivités locales, mais sera aussi commercialisé par internet auprès du grand public.
Le "Nextere" est un véhicule à deux places ou une place plus rangement, ressemblant à un maxi-scooter à quatre roues muni d'une carrosserie construite à partir d'éco-matériaux, comme du chanvre, équipé d'un moteur avec batteries lithium-polymère. Il dispose d'une autonomie de 80 à 100km. "Ce n'est pas un véhicule pour partir en vacances, mais qui peut être utilisé par exemple pour un médecin ou une infirmière en tournée", explique Eric Linares, le responsable d'Eco et Mobilité.
Sa "Simply City" est un véhicule de quatre places, de 400kg, qui doit être homologué comme "quadricycle lourd". Eco et Mobilité vise une production de quelques dizaines d'unités par mois.
Endeavour envisage pour sa part la création d'une usine à Mornac (Charente), pour produire sa "Redigo" de quatre places à partir de 2010, pour un prix d'environ 7.500 euros.
Les collectivités, les associations et les entreprises peuvent d'ores et déjà manifester leur intérêt en passant une "pré-commande". On ne perd pas de temps en Poitou-Charentes.
F. Grimpret
Toujours partants, messieurs de l'UMP, pour l'unité nationale?