J'étais cette après midi à Quiéry la Motte dans le Pas de Calais entre Arras et Douai
pourquoi?
Pas pour me promener! Il y a la bas une rivière l'escrebieux et surtout des champs captants où l'on pompe de l'Eau pour les habitants du Nord et du Pas de Calais.
( L'Escrebieux est une petite rivière française de la région Nord-Pas-de-Calais et un affluent de la Scarpe, donc un sous-affluent de l'Escaut: http://fr.wikipedia.org/wiki/Escrebieux)
Les colllectivités ont décidé de protèger les champs captants et je suis allé visiter les 45 Ha de boisements protégeant la ressource en Eau.
Une des particularités de ce site est que le public a accès à une belle promenade, ce qui permet de joindre l'utile à l'agréable.
Je vous rappelle que la protection de la ressource en eau sera un des combats essentiels de ce siècle.
Tournoi international de football féminin ce dimanche.
Venez nombreux les encourager!
Les matches de poules et de classement auront lieu de 9h00 à 16h30.
Match amical poussines/benjamines des écoles primaires de Warhem à 16h30.
La finale débutera à 17h30 et la remise des récompenses est prévue vers 18h30.
Restauration possible le midi (menu à 6,50 ou 8,50 euros).
Réservations au 03.28.62.01.16.
Site internet du club : http://uswarhem.free.fr
Nous vous l'avions annoncé, Consuelo Remmert, la demi-soeur de Carla Bruni (fille du père biologique de la Première dame, le Brésilien Mauricio Remmert ), occupe depuis quelque temps un poste de stagiaire à l'Elysée. Piston, pas piston, c'est une autre histoire......
Consuelo, stagiaire de choc, et dont la carrière semble bien partie, faisait partie de la délégation française envoyée au G20 de Londres le 2 avril dernier, apprend-on à la lecture du Canard Enchaîné à paraître demain.
"Elle oeuvre désormais au sein de la cellule diplomatique de l'Elysée", précise l'hebdo satirique. Et, lors du fameux G20, elle a perdu sa valise "et les poulets de l'Elysée ont été mobilisés pour la retrouver".
Pas de détail sur le contenu de ladite valise : lingerie coquine ou linge sale diplomatique à laver en famille en G20 ? Mystère.
En tout cas, l'avantage, quand on est dans l'entourage de Sarko, c'est qu'on est assuré que le GIGN est toujours prêt à intervenir, si l'on égare quelque chose, qu'il s'agisse d'un scooter cabossé ou d'une valise en carton...
Le premier ministre italien, qui doit de nouveau se rendre dans les Abruzzes ce mercredi, a estimé à la télévision allemande qu'il ne manquait rien aux sinistrés.
Silvio Berlusconi dans le village de San Demetrio, ce mardi. (REUTERS)
«Il ne leur manque rien, ils ont des soins médicaux, de la nourriture chaude… Bien sûr, leur abri actuel est tout à fait provisoire mais justement, il faut prendre ça comme un week-end en camping.»
Ahhhhh… le plaisir d’un bon mot. Silvio Berlusconi y résiste rarement. Et ça a encore été le cas ce mercredi au moment de répondre à la journaliste de la télévision allemande N-TV qui l’interrogeait sur la situation des sinistrés du tremblement de terre des Abruzzes.
Quelque 17.000 sans-abri, dont la plupart ont pris place dans des campements de tentes dressés dans les faubourgs de L’Aquila, la capitale de la province des Abruzzes, ont été recensés par les autorités après le tremblement de terre qui a secoué la zone il y a 48 heures, tuant au moins 250 personnes.
Le «Cavaliere» doit se rendre ce mercredi dans le centre historique de L’Aquila, un «petit Florence», très gravement endommagé par le séisme et dont la Basilique s’est effondrée mardi à la suite d’une nouvelle forte secousse.
(Source AFP)
Lancée à l'été 2008 par la députée (UMP) Michèle Tabarot, l'idée de créer des jardins d'accueil pour les 2-3 ans a été reprise, à l'automne, par un rapport du Sénat. "Ces enfants sont à la fois un peu grands pour fréquenter la crèche et un peu petits pour une école plus encline à les placer en situation d'apprentissage", estimaient les sénateurs (UMP) Monique Papon et Pierre Martin.
Dans son rapport sur la petite enfance, Mme Tabarot proposait que ces jardins soient ouverts de 7 heures à 19 heures afin de s'adapter aux horaires décalés de certains parents. Le taux d'encadrement devrait se situer entre celui de la crèche et celui de l'école maternelle. La participation financière des parents, elle, variera en fonction de leurs revenus, comme pour les crèches.
Pour le SNUipp-FSU, le principal syndicat des enseignants du primaire, ces jardins d'éveil sont un "subterfuge" destiné à remettre en cause le principe de gratuité de l'école et "économiser des postes" dans l'éducation nationale. "Il s'agit de substituer à l'école maternelle, lieu d'éducation et d'apprentissage, une garderie beaucoup plus coûteuse pour les familles", affirme le syndicat.
Développée à partir des années 1970, la préscolarisation des enfants de moins de 3 ans a rapidement progressé : elle concernait 10 % des "2 ans" en 1960, 18 % en 1970, 36 % en 1980. Les chiffres se sont ensuite stabilisés pendant une décennie avant d'amorcer une décrue dans les années 2000 : en 2007, seuls 20 % des enfants de 2 ans étaient préscolarisés en maternelle.
Menée au nom de l'égalité des chances, la préscolarisation des 2 ans était censée offrir un environnement stimulant aux enfants issus d'un milieu "social défavorisé", selon les mots de la loi d'orientation de 1989. Vingt ans plus tard, elle se révèle scolairement "neutre" : les performances des enfants qui ont fréquenté la maternelle à un âge précoce sont semblables à celles des autres enfants.
OFFRIR UNE LIBERTÉ DE CHOIX
Pour Nadine Morano, les jardins d'éveil qui ouvriront à l'automne ne concurrencent en rien la préscolarisation. "Nous ne sommes pas à l'école, et ce n'est pas une rentrée scolaire, a-t-elle déclaré, mardi, sur LCI. Nous sommes dans un développement des modes de garde. Les maires pourront, s'ils le souhaitent, l'adosser ou l'inclure dans des locaux qui peuvent être aussi leurs groupes scolaires, mais ce n'est pas l'école maternelle."
Avec les jardins d'éveil, le gouvernement veut pallier la faiblesse de l'offre de garde pour les moins de 3 ans : la France compte à peine un million de places pour 2,4 millions d'enfants. Pénurie de crèches, manque d'assistantes maternelles, recul de la préscolarisation à 2 ans... "Le besoin d'accueil non satisfait est évalué entre 300 000 et 400 000 places", estimait en 2008 le rapport Tabarot.
Mme Morano a promis l'ouverture de 200 000 nouvelles places d'ici à 2012. L'enjeu de ce développement de l'offre d'accueil est d'apporter une véritable liberté de choix aux femmes qui souhaitent travailler : aujourd'hui, la pénurie est telle que beaucoup de mères sont contraintes de prendre un congé parental contre leur gré. Selon le rapport Tabarot, un tiers des femmes qui ont interrompu leur activité ont pris leur décision parce qu'elles n'avaient trouvé aucune solution de garde.