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7 décembre 2010 2 07 /12 /décembre /2010 17:24

En tant que membre votant du grenelle de l'environnement dès 200au sein de l'atelier 1 consacré   aux
  batiments et energies je m'insurge également contre
l'arrêt  brutal  de l'aide  à  une  filière  en 

progression
.



un atterrisage en douceur aurait été plus intelligent!


Oui c est vrai je m'excuse on a affaire ici à ...

l'UMP  !!  

 


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26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 09:55
Amer anniversaire pour le Grenelle de l'environnement

Alors que c'est aujourd'hui le troisième anniversaire du discours fondateur du Grenelle de l'environnement, les ONG ont tiré à boulets rouges en fin de semaine dernière.

 

Voilà une date qui ne tombe pas très bien. Le 25 octobre 2007, dans les salons de l'Elysée, était prononcé le discours fondateur du Grenelle de l'environnement en présence de deux prix Nobel de la paix, l'Américain Al Gore et la Kényane Wangari Maathai. Le président de la République s'était engagé à créer une politique d u « new deal écologique ».

Trois ans plus tard, les deux projets de loi découlant de ce processus de discussion entre élus, associations, syndicats, employeurs et représentants du gouvernement ont été votés. A la fin de l'été, Jean-Louis Borloo a demandé aux présidents des comités qui avaient orchestré les discussions de rédiger un rapport faisant office de bilan. Mais aussi un point d'étape sur l'espoir soulevé les enjeux liés à la lutte contre le changement climatique, la protection de la biodiversité, l'amélioration de la gouvernance, et le renforcement de la protection des populations par rapport aux risques environnementaux.

Politiquement, la démarche a du sens. Même s'il n'est pas rédigé par le ministère de l'Ecologie mais par les acteurs du Grenelle, aidés par le consultant Ernst & Young, le rapport, pratiquement terminé, sera une sorte de passage de flambeau de Jean-Louis Borloo -dont le nom est régulièrement cité pour prendre la suite de François Fillon à Matignon -à son successeur au ministère de l'Ecologie.

Les grandes envolées d'il y a trois ans promettant un plan Marshall français se sont trouvées confrontées à la réalité. Le rythme de distribution des éco-prêts à taux zéro pour faire des travaux d'économie d'énergie diminue, la réglementation sur les OGM tarde.

« Taxe carbone » britannique

Ironie de l'histoire, le gouvernement britannique a créé une sorte de taxe carbone. Les 4.000 groupes publics ou privés, jusqu'ici non soumis aux quotas européens mais qui émettent eux aussi du CO2, devront payer une taxe qui alimentera le budget du gouvernement. L'ensemble devrait représenter environ 1 milliard de livres d'ici à 2014, avec un prix de la tonne de CO2 fixé à 13 livres (14,60 euros). Evoquée dans le Grenelle, la taxe carbone a été abandonnée après son rejet par le Conseil d'Etat.

En revanche, les grands projets d'infrastructures de transport avancent. La réglementation thermique plus sévère, prévue pour les bâtiments neufs, se fait attendre, mais les promoteurs se bousculent déjà pour réaliser des immeubles basse consommation.

La semaine dernière, les ONG ont décidé de souffler à leur manière les bougies du Grenelle. Greenpeace a publié une note sur les évolutions des émissions de gaz à effet de serre françaises, intitulée « Une baisse en trompe-l'oeil ». La baisse des émissions, entre 1990 et 2009, est « principalement » concentrée sur 2008-2009, affirme le document, ce qui pourrait être un compliment. Il n'en est rien : « Elle est essentiellement due à un ralentissement de l'activité économique liée à la crise mondiale et ne correspond à aucun effort de transformation structurelle », conclut la note. Le Réseau Action Climat, qui regroupe trois ONG, publiait de son côté un communiqué, intitulé «  Grenelle de l'environnement : trois ans après, l'amer déni ». Les associations reprochent au gouvernement de « souffler le chaud et le froid sur les énergies renouvelables, empêchant le développement serein de ces filières ».

 Symboliquement, les députés ont aussi contribué à envoyer un signal négatif aux acteurs du Grenelle. Vendredi, ils ont voté la réduction de 50 % à 25 % du crédit d'impôt accordé à l'achat de panneaux photovoltaïques et la fin de la défiscalisation pour les investissements dans les territoires d'outre-mer.

Le gouvernement estime que les objectifs fixés par le Grenelle à l'horizon 2020 (5.400 mégawatts raccordés) seront atteints à la fin du premier semestre 2011, si l'on inclut les 3.000 mégawatts en attente de raccordement. Mais nombre de professionnels estiment que l'on risque de casser l'élan qui aurait permis à la France de respecter ses engagements européens de disposer de 23 % d'énergies renouvelables à l'horizon 2020.

JULIE CHAUVEAU, Les Echos
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3 juin 2010 4 03 /06 /juin /2010 09:27

Et hop encore un nouveau couac pour le grenelle de la mer!

 

Avec l'UMP les bonnes intentions ne sont jamais suivis d'effet!!!

merci Borloo et Tsarko1er !!!

 

link

 

 

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 15:44

J'étais opposé à la création de cette taxe non pas sur le principe de la fiscalité écologique mais sur le fait que cette mesure de Tsarko1er était inégalitaire socialement et ecologiquement.


Lors des travaux du Grenelle de l'Environnement auxquels j'ai participé, j'avais en novembre 2007 rappelé à la presse mon opposition à la taxe carbone, mesure qui frappe et pénalise les français et notamment les moins fortunés, je précise que les grands groupes les plus pollueurs étaient exemptés de cette taxe.


J'avais à l'époque précisé que cette taxe aurait créé un sentiment anti grenelle et qu'il aurait fallu plutot présenter un projet comprenant des mesures incitatives et positives afin d'obtenir l'adhésion de la population.


Le développement durable ne  peut  etre  approprié par le plus grand nombre que si et seulement si les citoyens y adhérent volontairement par une prise de conscience positive et non pas par  l'imposition forcée d'une taxe injuste.

 

 

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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 11:32

Face au réchauffement climatique, les responsables politiques se sont surtout concentrés pour le moment sur un objectif : réduire le niveau d'émissions de CO2. L'idée que le grand changement est déjà engagé, qu'il va falloir s'y adapter et qu'il aura un impact reste largement taboue. Pourtant, selon un rapport de l'observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (Onerc), publié vendredi, la cartographie des tendances sur le XXe siècle montre un réchauffement plus important que le réchauffement global en France. La température moyenne annuelle a augmenté de 0,95 degré sur le territoire hexagonal (+ 0,74 au niveau mondial) entre 1901 et 2000. Suivant les scénarios, une nouvelle hausse de 0,99 à 1,37 degré à l'horizon 2050 est envisagée.

Le premier effet de ce bouleversement, calculé en excluant les scénarios les plus pessimistes des climatologues, serait un déficit de 2 milliards de mètres cubes d'eau par an en 2050. Soit 14 % des prélèvements agricoles, industriels et pour l'eau potable. Mais moins de 2 % du total des écoulements annuels moyens dans l'Hexagone. Localement, les nappes sédimentaires du bassin de la Seine baisseraient de 15 mètres, de quoi faire exploser les factures d'eau car celle-ci serait plus difficile à aller chercher.

Risque de submersion

La remontée du niveau de la mer longuement décrite par les climatologues met en danger plusieurs dizaines de milliers de logements dans le seul Languedoc-Roussillon. Et la proportion des infrastructures routières soumises au risque de submersion permanent représente 4 % du total, entraînant une facture de plus de 2 milliards, uniquement pour les routes nationales.

Dans les villes, les dommages générés par le risque de « retrait-gonflement » des sols argileux pourraient dépasser 1 milliard d'euros par an en 2100 si rien n'est fait pour modifier les constructions. Un phénomène qui coûte déjà environ 200 millions par an à l'échelle de la France en période de canicule. Dans les Alpes, aujourd'hui 143 domaines sont correctement enneigés. En cas de réchauffement de deux degrés, hautement probable, ils ne seraient plus que 96.

Ce rapport va servir au lancement, d'ici à 2011, d'un plan national d'adaptation au changement climatique, conformément à la loi d'orientation du Grenelle de l'environnement. A Copenhague par exemple, les débits des systèmes de drainage sont systématiquement augmentés de 70 % par rapport aux besoins actuels, un taux permettant d'assurer le bon fonctionnement des installations quel que soit le scénario climatique envisagé. Au niveau mondial, d'ici à 2030, les Nations unies estiment que les politiques d'adaptation nécessaires coûteraient entre 28 et 67 milliards de dollars par an pour les pays en développement et entre 21 à 104 milliards pour les pays développés. Mais, chaque année, le fonds pour l'environnement mondial dispose d'un budget de… 300 millions d'euros. La Commission européenne envisage, elle, de mettre en oeuvre d'ici à 2011 un centre d'échange d'informations et préconise de procéder à des évaluations des coûts et avantages de l'adaptation d'ici à 2011. La deuxième phase consistera à élaborer pour 2013 une stratégie communautaire.

JULIE CHAUVEAU, Les Echos
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28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 10:25
Comme vous le savez, je participe aux ateliers du groupe Bâtiment et Energie du Grenelle de l'Environnement.
Nous  travaillons et proposons des actions dans un débat constructif et respectueux.

Il m'a a été demandé ,afin de ne pas renfermer ces échanges  à quelques initiés, d'ouvrir aux citoyens en vous  proposant un site internet spécifique à ce sujet.

Je vous invite donc à consulter le site



http://www.plan-batiment.legrenelle-environnement.fr/


N'hésitez pas à me donner votre avis et vos remarques.
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22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 10:03
J'ai participé aux ateliers du Grenelle de l'Environnement et à ce titre j'avais défendu au nom des Départements de France le dossier de l'électricité verte et la possibilité pour les collectivités de produire de l'électricité et surtout le rachat par EDF de cette énergie produite par des équipements de type photovoltaique, éolien et autres.

Après avoir bataillé sur ce dossier, le résultat est enfin positif. Voici ci dessous un article interessant du Moniteur.fr

Grenelle 2 : départements et régions bénéficieraient de l'obligation d'achat de l'électricité "verte"

Les sénateurs viennent de voter l'article 33 du texte de loi dit Grenelle 2 obligeant EDF à racheter l'électricité d'origine renouvelable ou issue de la cogénération, produite par des équipements assurant des missions de service public relevant des compétences des régions et départements et implantées sur leur territoire.

Jusqu'à maintenant, en vertu de l'article L2224-32 du code général des collectivités territoriales, la DIrection de la DEmande et des Marchés Énergétiques (DIDEME) refusait de délivrer le récépissé de déclaration d'exploiter une installation de production aux collectivités locales autres que les communes et les établissements publics de coopération intercommunaux.
Les sénateurs ont décidé d'y remédier en votant un article du Grenelle 2 permettant aux conseils généraux et régionaux de bénéficier de l'obligation d'achat pour des installations liées à des équipements assurant des missions de service public relevant de leurs compétences propres et implantées sur leur territoire.

Le I de cet article est ainsi rédigé : "Sous réserve de l'autorisation prévue à l'article 7 de la loi n° 2000-108 du 10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de l'électricité, outre le cas où l'électricité est produite pour leur propre usage, et dans la mesure où l'électricité est destinée à être vendue dans le cadre du dispositif de l'article 10 de cette même loi, les départements et les régions, sur leurs territoires respectifs, peuvent aménager, exploiter, faire aménager et faire exploiter dans les conditions prévues par le code général des collectivités territoriales pour les départements et les régions des installations de production d'électricité entrant dans le champ des 2° et 3° de l'article 10 de ladite loi implantées sur leur territoire.
Les départements et les régions bénéficient, à leur demande, de l'obligation d'achat de l'électricité produite par les installations entrant dans le champ des 2° et 3° du même article 10, liées à des équipements assurant des missions de service public relevant de leurs compétences propres et implantées sur leur territoire."

Cet article précise aussi que toute personne morale pourrait, quelle que soit la mission pour laquelle elle a été constituée, exploiter une installation de production d'électricité utilisant l'énergie radiative du soleil, dont les générateurs sont fixés ou intégrés aux bâtiments dont elle est propriétaire.

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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 10:56
Suiite à mon courrier du 29 juin dernier concernant l'incendie de l'entreprise CITIS à Petite Synthe,
le Sous Préfet de Dunkerque m'a répondu le 21 aout  en m'indiquant avoir saisi les services de la DREAL (Direction Régionale de l'Environnement),  afin qu'ils lui rapportent des informations sur les procédures engagées suite à cet évenement et sur la clasification SEVESO de l'Entreprise.

Dès que j'obtiens des informations plus précises, je publierai un message sur le Blog.
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30 août 2009 7 30 /08 /août /2009 12:54
 Ayant participé au grenelle de l'environnement dès l été 2007 et  à TOUTES les réunions de cette structure , jusqu' à la grand messe  à l élysée , je tiens d abord  à  rappeler que le principe retenu  pour cette taxe était qu elle ne touche pas les ménages , mais uniquement les producteurs .
On en est bien loin aujourd hui dans le projet  de sarko .
Faire payer les consommateurs va rendre ce projet au départ  vertueux complètement impopulaire chez nos concitoyens
Et puis les gens du nord doivent davantage se chauffer que les gens du midi !
les employés et ouvriers sont bien obligés de se déplacer pour aller travailler !
 cette taxe doit etre neutre pour les consommateurs français !
il faut une fiscalité écologique, pas la taxe carbone de l'ump (inefficace, injuste, et aubaine budgétaire) mais une Contribution Climat Energie socialement juste, qui concerne toutes les énergies
(c'est la position du pôle écologique du PS , celle du PS depuis le 1er juillet, et c'est très proche de la position des Verts et de celle rappelée par Dany Cohn Bendit hier sur Europe 1).
I
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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 15:56

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