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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 22:19

J'ai exprimé à de nombreuses reprises sur mon blog l'absurdité de la présence française en Afghanistan.

 

Aujourd'hui encore, notre contingent a subi une attaque meurtrière qui met 4 nouvelles familles de notre pays en deuil.

 

Nicolas Sarkozy évoque un retrait anticipé, enfin ! Mais pourquoi ne pas nous avoir écouté plus tôt ? La conséquence en est tragique : 82 morts, pour rien. 

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 23:58

en  afghanistan   3 soldats  français  ont  été  blessés  griévement  par des   " tirs fratricides"  

sous  ce  mot se cache  une  bavure stupide  ou  des  militaires français  ont tiré  sur  des  militaires français  ... 

arrétons  le  massacre  !! 

il faut  partie d afghanistan  !!

je sais , je  me répéte,  mais  je continuerai  ce combat  face  à   une guerre  perdue d 'avance  !!!

 

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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 00:23
voici le témoignage d un ami militant  d une ONG du nord, avec qui je me suis rendu  à plusieurs reprises  en guinée et qui était  à  conakry le jour du massacre  .


J'ai effectivement vu successivement 2 événements :
Le jour de mon retour, le samedi 26 septembre, je n'ai pu quitter Mamou que vers 11h : le capitaine Dadis Camara avec une cohorte de voitures immobilisait la circulation et passait successivement à Mamou, Dalaba, Pita et Labé. Sur une place noire de monde comprenant ses militaires et ses civils, il montait en public le scénario du capitaine qui résiste à la pression des orateurs lui demandant de se présenter comme candidat à la présidence pour satisfaire les sollicitations de la population. Le film de cette prestation est passé en boucle à la télé. Il y avait de quoi ébranler l'opinion internationale.

Le lendemain,dimanche, l'opposition, connaissant l'intention de la manoeuvre du samedi, organisait une marche pacifique rassemblant les opposants à la candidature du capitaine. Pour parer les effets sur l'opinion publique internationale, le capitaine a décrété ce dimanche fête nationale, fériée et chômée et interdit la manifestation. Les organisateurs ont maintenu ce qui était prévu et donnaient RV au Stade pour un meeting avec les opposants. J'ai circulé en voiture vers l'aéroport et retour. Partout il y avait des paquets de militaires ou de gendarmes ou de policiers. De partout venaient des groupes défilant calmement et bien encadrés derrière des banderoles.
A l'aéroport l'avion du matin était repoussé et je suis rentré à l'hôtel. A l'heure du midi le préposé de l'hôtel recevait la première information d'un ami, témoin de la fusillade au stade. L'après midi le chiffre des morts s'élevait toutes les heures ainsi que les rapports sur la sauvagerie de la répression, des morts , des viols, des blessés, des arrestations de 2 chefs de l'opposition. Je n'ai pas vu les blessés mais les témoins révoltés.
Amicalement
Armand
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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 19:00
Guinée Conakry : massacre et arrestations. La junte au pouvoir révèle son vrai visage !
Communiqué commun

Les organisations signataires, actives en Guinée, condamnent avec la plus grande fermeté la violente répression survenue le 28 septembre à Conakry, à l’occasion de manifestations pacifiques organisées pour protester contre la candidature de Moussa Dadis Camara à la prochaine élection présidentielle.

Les organisations signataires, qui viennent de tenir à Paris une semaine de concertation avec leurs partenaires guinéens, appellent la communauté internationale à se mobiliser de toute urgence pour mettre un terme aux graves violations des droits de l’Homme perpétrées et à réagir fermement face aux exactions de la junte militaire du Conseil National pour la Démocratie et le Développement (CNDD) dirigé par le capitaine Moussa Dadis Camara depuis décembre 2008.

Selon les informations recueillies, les militaires auraient violemment réprimé les manifestations en tirant à balles réelles causant au moins 157 morts, plus de 1 250 blessés et de nombreuses femmes auraient été victimes de violences sexuelles. Il semble que la plupart des leaders de l’opposition présents sur les lieux aient été violemment pris à partie et, pour certains, arrêtés arbitrairement.

Comme en 2007, le bilan de cette répression sera difficile à établir. Des militaires auraient procédé au ramassage des corps des victimes des exactions, par exemple à l’hôpital Ignace Deen de Conakry. En 2007, les marches de janvier et février avaient fait plus de 180 morts. Les chefs de la répression de 2007 sont ceux qui aujourd’hui dirigent la junte.

Les organisations signataires tiennent à affirmer leur soutien à la société civile guinéenne qui se bat pacifiquement au sein des Forces vives pour que soient organisées enfin en Guinée Conakry des élections libres et transparentes, permettant que la Guinée accède enfin à la démocratie et au développement.

Elles demandent instamment aux autorités en place de procéder immédiatement à la libération de toutes les personnes détenues dans le cadre de cette répression, de garantir l’intégrité physique de tous les Guinéens, de rétablir sans délai les libertés individuelles et collectives. Elles rappellent aux autorités et aux forces de sécurités guinéennes qu’elles sont tenues, de par les conventions internationales ratifiées par la Guinée, au respect et à la protection en toutes circonstances de l’intégrité physique des individus et qu’elles seront considérées comptables et responsables de leurs actes.

Elles interpellent la Communauté internationale pour que soient immédiatement prises des sanctions ciblées contre les responsables de la junte et leurs proches afin que ces crimes ne restent pas impunis. Elles appellent la France à peser de tout son poids au sein du Conseil de Sécurité de l’ONU afin que soit rapidement mise en place une commission internationale indépendante d’identification des faits et exigeant des actes forts de la part des autorités pour lutter contre l’impunité des auteurs de ces crimes.

Elles demandent enfin que le CNDD respecte ses engagements d’organiser des élections libres et démocratiques et de se tenir à l’écart du pouvoir.

Paris, le 30 septembre 2009

Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement - Terre solidaire - CCFD
Comité Français pour la Solidarité Internationale - CFSI
Confédération Générale du Travail - CGT
Coopération Atlantique Guinée 44
Etudiants et Développement
Ligue des droits de l’Homme - LDH
Solidarité Laïque
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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 01:21

je souhaite  me rendre début décembre en guinée conakry, dans la  province de Mamou pour notre projet "puits pour l'eau potable" ..
et j'ai toujours la ferme intention d'y aller!!!
 ça urge !!!
Il faut implanter ces puits !!!

Est-ce que arrêter l'aide humanitaire  à ce pays améliorera le sort de ces centaines d'enfants qui
meurent chaque année ??? NON !
 IL FAUT PUNIR LA JUNTE,  OUI !!!
mais pas les guinéens qui n'en peuvent plus !

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:42
en Guinée Conakry un des pays  les plus pauvres d' A frique, pays où je dois me rendre en décembre pour une nouvelle visite , (  création de forages pour l'eau   ) 
 l armée  a tiré sur les manifestants :  58 morts !
Guinée Conakry: 58 manifestants tués par la junte militaire
Une peinture du chef de la junte militaire guinéenne, Moussa Dadis Camara, près de Conakry, en mai 2009.
Une peinture du chef de la junte militaire guinéenne, Moussa Dadis Camara, près de Conakry, en mai 2009./REUTERS/Daniel Magnowski

VIOLENCES - C'est la première fois depuis son arrivée au pouvoir il y a neuf mois que la junte militaire réprime dans le sang une manifestation d'opposants...

Au moins cinquante-huit personnes hostiles à la junte au pouvoir en Guinée Conakry ont été tuées par balles lundi, selon une source médicale. Deux chefs de l'opposition ont également été blessés lors d'une sanglante répression par les forces de l'ordre d'une manifestation préalablement interdite. Des violences que Paris a condamné «avec la plus grande fermeté», ce lundi soir.
 
Plusieurs dizaines de milliers de manifestants s'étaient rassemblés dans le plus grand stade de Conakry pour s'opposer à l'éventuelle candidature du chef de la junte, le capitaine Moussa Dadis Camara, à l'élection présidentielle de janvier.
 
«C'est la boucherie! Un carnage»
 
Après la dispersion violente du rassemblement par les forces de l'ordre, 58 cadavres ont été apportés à la morgue du Centre hospitalier universitaire de Donka, à Conakry, a affirmé à l'AFP un médecin, sous couvert d'anonymat. «C'est la boucherie! Un carnage», a-t-il lancé.
 
Dans un autre établissement sanitaire de Conakry, l'hôpital Ignace Deen, une source médicale a assuré qu'un camion militaire était venu pour ramasser des «dizaines de corps», emmenés vers «une destination inconnue». Selon un membre de la Croix-Rouge, il y a «une volonté de dissimuler les corps des victimes» de la répression. «Les dirigeants de l'armée ont demandé que tous les cadavres collectés soient apportés au camp militaire (Alpha Yaya Diallo, le siège de la junte) et non pas dans les morgues», a-t-il dit.
 
Deux chefs de l'opposition blessés
 
Dans la matinée, les forces de l'ordre avaient d'abord dispersé les opposants à l'aide de matraques et de grenades lacrymogènes près du stade de la capitale, et arrêté des dizaines de personnes. Puis le stade, qui compte officiellement 25.000 places, s'était empli d'une foule débordant jusque sur les pelouses et aux abords, et des tirs avaient été entendus.
 
L'ex-Premier ministre Cellou Dalein Diallo, candidat à l'élection présidentielle et leader de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UDFG, opposition), a été «blessé» au cours de la manifestation, tout comme l'ancien chef de gouvernement Sidya Touré, leader de l'Union des forces républicaines (UFR, opposition), selon leurs récits. Ils ont été conduits au camp militaire Alpha Yaya Diallo, siège de la junte, puis transportés dans une clinique pour y être soignés.
 
Jusqu'à présent, le capitaine Dadis Camara soulignait volontiers que
l'armée avait pris le pouvoir «sans effusion de sang», le 23 décembre 2008, au lendemain du décès du président Lansana Conté qui régnait sans partage sur le pays depuis 1984. Ces violences interviennent au moment où la communauté internationale fait pression sur le chef des putschistes, pour qu'il respecte ses engagements de ne pas se présenter à l'élection et de laisser le pouvoir aux civils.
M. D.
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17 avril 2009 5 17 /04 /avril /2009 10:32

Quatre mémos secrets de la CIA, détaillant minutieusement les techniques d’interrogatoire relevant de la torture utilisées pendant l’ère de George W. Bush, ont été publiés jeudi conformément à ce qu’avait promis l’administration.


Certains courts passages mentionnant des noms ont été censurés et le président Barack Obama a affirmé que ces personnels qui «ont fait leur devoir en se fondant avec bonne foi sur les conseils légaux du département de la Justice ne seront pas poursuivis».


Ainsi, le prisonnier est d’abord mis nu, privé de sommeil, enchaîné et parfois doté d’une couche-culotte, précisent les textes rédigés par des avocats mandatés par l’administration Bush. Il subit aussi une «altération de son hygiène alimentaire», souvent une alimentation exclusivement liquide.

Viennent ensuite les méthodes dites «correctrices» où il y a «interaction» avec le détenu. «Ces techniques ne sont pas toutes utilisées en même temps» précise un des mémos.

Selon un «interrogatoire prototype», on peut utiliser «la frappe insultante au visage», «la frappe au ventre», la privation de sommeil les mains menottées, parfois appuyé contre un faux mur qui s’affaisse lorsque le détenu tente de s’y reposer.

Celui qui interroge peut également utiliser «les positions de stress», le confinement en compagnie d’insectes hostiles et enfin la simulation de noyade.

Dans un communiqué, le président Obama affirme que ces techniques adoptées par l’administraton Bush après le 11-Septembre «ont miné notre autorité morale et n’ont pas amélioré notre sécurité».


Il a toutefois stipulé que les personnels de la CIA ayant participé à ces interrogatoires assimilables à de la torture dans le cadre de consignes secrètes de l’agence ne seront pas poursuivis. «Ceux qui ont fait leur devoir en se basant avec bonne foi sur les conseils légaux du département de la Justice ne seront pas poursuivis», a-t-il indiqué ajoutant: «nous devons protéger leur identité de façon aussi vigilante qu’ils protègent notre sécurité». Le ministre de la Justice a précisé que son ministère fournirait des défenseurs à ces personnels s’ils venaient à être interrogés par un tribunal.


C’est la puissante Association américaine de défense des libertés publiques (ACLU) qui avait obtenu devant les tribunaux la promesse de la publication de ces rapports secrets par l’administration américaine.

Jeudi, l’ACLU mais aussi le CCR (Center for Constitutional Rights) et Amnesty International ont contesté dans des communiqués le fait que les responsables ne soient pas poursuivis. Ne pas les poursuivre est «simplement intenable», estime l’ACLU.


«Ces mémos fournissent la preuve irréfutable que des responsables de l’administration Bush ont autorisé et donné leur bénédiction légale à des actes de torture qui violent les lois internationales et nationales», a estimé Anthony Romero, directeur exécutif de l’association.

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16 avril 2009 4 16 /04 /avril /2009 00:33
Forum mondial de l'eau

Opération pilote dans l’ouest du Mali

Article publié le 22/03/2009 Dernière mise à jour le 23/03/2009 à 14:24 TU

Maraîchage à Samé, près de Kayes au Mali. L'association GRDR met en œuvre dans cette province des programmes d’appui au secteur horticole.(Photo : www.grdr.org)

Maraîchage à Samé, près de Kayes au Mali. L'association GRDR met en œuvre dans cette province des programmes d’appui au secteur horticole.
(Photo : www.grdr.org)

Le 5è Forum mondial de l’eau s'est achevé après une semaine de travaux à Istanbul en présence de quelque 30 000 participants. Il y aura été beaucoup question du manque croissant de ressources hydriques sur la planète et des moyens d’y remédier. Le continent africain est particulièrement menacé. Mais la coopération - vivement encouragée lors de ce Forum - donne parfois des résultats très encourageants.

Avec notre correspondant à Istanbul, Jérôme Bastion

Ils sont venus de très loin pour expliquer au reste du monde que la sécheresse n’est pas une fatalité. Hormis l’Union européenne, c’est l’Agence de l’eau Artois-Picardie, au nord de la France, qui finance un programme qui est en train de changer la vie des habitants de la province de Kayes, dans l’ouest du Mali, jusque-là vouée à l’émigration.

La coopération en deux étapes consiste en une « cartographie qui va identifier les ressources en eau et l'aménagement de digues filtrantes. Un aménagement qui va permettre à ces villageois d'avoir de l'eau et de pratiquer une agriculture de subsistance tout au long de l’année », explique Géraldine Aubert de l’Agence de l’eau Artois-Picardie.

Le projet n’est qu’à mi-parcours mais, d’ores et déjà, le maire de Sandaré, Monzon Ali Coulibaly, mesure les retombées pour l’activité unique de la région, l’agriculture : « Grâce à l’irrigation, la riziculture a été introduite. C'est une innovation et, avec le maraîchage, il y a beaucoup de variétés de légumes qui n'existaient pas dans le passé. Par exemple, la culture des oignons, de la pomme de terre, de la betterave ou de la tomate ».

Et les habitants ont repris confiance. « Il y a une prise de conscience au niveau des populations qui mesurent les enjeux liés aux ressources naturelles. Elles savent aujourd’hui qu’il est nécessaire de les protéger et qu’il faut agir ensemble. C’est le plus important pour nous et c’est l’objectif principal », affirme Mamadou Diarra de l’association GRDR, maître d’œuvre du projet.

Moins de corvées d’eau, plus de surfaces cultivées pour des cultures diversifiées, l’opération pilote est réussie, elle ne demande qu’à se répéter.

Sur le même sujet

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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 01:04

Secret Défense: Afghanistan : un officier français tué et un soldat très grièvement blessé dans une embuscade

Afghanistan : un officier français tué et un soldat très
 grièvement blessé dans une embuscade

Un capitaine français, appartenant au 35ème régiment d'artillerie parachutiste (35ème RAP), a été tué ce matin en Afghanistan, au cours d'une embuscade tendue par les insurgés. Son interprète afghan a également été tué et un brigadier-chef du 35ème RAP est "très grièvement blessé".

L'embuscade a eu lieu dans la province du Logar sur la route qui mène de Kaboul à Gardez, au sud de la capitale, au cours d'une patrouille motorisée. Les militaires français appartiennent à une Operational Mentoring Liaison Team (OMLT), qui encadre l'armée nationale afghane.

L'embuscade s'est produite vers 8h30 heure française (12h30 heure locale). Le convoi a d'bord été stoppé par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) posé sur la route, puis un engagement, avec des armes d'infanterie, a eu lieu. L'état-major ignore encore les causes exactes de la mort et des blessures des soldats touchés.

Des forces américaines et afghanes ont été appelées en renfort. Les Américains ont notamment engagé deux avions d'attaque au sol A-10 et un hélicoptère Apache. Les combats avaient cessé en milieu de journée. 

Cette nouvelle embuscade porte à 26 le nombre de militaires français tués en Afghanistan.

Par ailleurs, l'AFP rapporte que trois attaques lancées en deux minutes dans la capitale par des kamikazes talibans contre des bâtiments officiels, dont deux ministères, ont fait au moins 26 morts, des civils pour l'essentiel, et 55 blessés.

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16 janvier 2009 5 16 /01 /janvier /2009 12:34
Gaza: Un ministre israélien envisage un cessez-le-feu la "semaine prochaine"

JERUSALEM (AFP) — Le ministre israélien des infrastructures, Binyamin Ben Eliezer, a envisagé vendredi un accord de cessez-le-feu à Gaza pour la "semaine prochaine".

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