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24 janvier 2008 4 24 /01 /janvier /2008 11:46
voici le texte que j'ai prononcé ce mardi lors de la séance plenière concernant l'adoption du plan climat nord pas de calais
ce rapport a été unanimement apprécié et un vote massif de l'ensemble des élus a validé ce rapport:

Dossier du Président concernant la Participation du Conseil Général du Nord à l'élaboration et à la mise en place d'un Plan Climat Energie en Nord-Pas-de-Calais à travers la signature d'une charte de coopération entre l’Etat, les Départements du Nord et du Pas de Calais, la Région Nord-Pas-de-Calais et la délégation régionale de l'ADEME.
 
 
Les dynamiques de lutte contre le dérèglement climatique, que se soit au niveau mondial (avec le Prix Nobel de la paix attribué à Al Gore et au GIEC), au niveau européen ou national ne produiront leur plein effet que si chacun des acteurs se les approprie et que tous adoptent une stratégie gagnante.
 
Le Conseil Général du Nord a choisi de se mobiliser notamment avec son Agenda 21 dès 2001 que se soit en interne, en maîtrise d’ouvrage directe ou en soutien aux tiers (énergie, eau, déplacements, marchés publics, biodiversité…).
 
Le territoire du Nord-Pas-de-Calais décide aujourd’hui de se mobiliser pour agir.
Dans le cadre du Contrat de Projets Etat-Région 2007-2013, et de la convention additionnelle commune aux Départements du Nord et du Pas-de-Calais, cinq acteurs institutionnels du Nord-Pas-de-Calais (Etat, Départements du Nord et du Pas de Calais, Région Nord-Pas-de-Calais, délégation régionale de l'ADEME) proposent aujourd’hui d’élaborer et de mettre en œuvre un Plan Climat en Nord-Pas-de-Calais.
 
Le projet de charte de coopération, annexé au présent rapport, concrétise cette volonté commune, précisant les objectifs, la mise en œuvre et la gouvernance de la démarche, pour la période 2007-2013. Elle ne comporte aucun engagement budgétaire.
 
L'objectif de la Charte consiste d’une part, à assurer une plus grande lisibilité et une plus grande efficacité aux actions entreprises par les partenaires en matière de réduction des GES, et d’autre part, à définir une stratégie partagée et un plan d'actions, dans le respect des compétences et orientations stratégiques de chacun.
 
Le résultat à atteindre est de se placer dès à présent sur la trajectoire d'une division par 4 des émissions de GES d'ici 2050 (- 3 % par an).
 
La construction d'un Plan Climat Energie en Nord-Pas-de-Calais impliquera une participation des élus départementaux et une mobilisation constante des services départementaux.
 
Le Département du Nord est aujourd’hui sollicité par la Région, afin de s’impliquer dans un Plan Climat Energie Nord Pas de Calais, aux côtés également du Département du Pas de Calais (qui a délibéré le 14 janvier dernier), et avec l’Etat, dont j’attends avec vigilance qu’il mette en œuvre les actions issues du Grenelle de l’Environnement.
 
Le dérèglement climatique et ses impacts, ainsi que l'épuisement à venir des ressources fossiles, sont une réalité incontestable et un enjeu fondateur pour l'action publique au XXIéme siècle. Cela suppose de revoir progressivement nos modes de production, de consommation et de décision, ainsi que nos modes de vie.
 
Engageons-le ensemble aujourd’hui avec le Plan Climat en Nord-Pas-de-Calais.
 
 
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22 janvier 2008 2 22 /01 /janvier /2008 23:19
J'ai présenté cet aprés midi au conseil général notre adhésion au plan climat Nord Pas de Calais.
Ma proposition a été adoptée à l'unanimité de l'assemblée.
Vous en découvrirez le texte demain.
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22 janvier 2008 2 22 /01 /janvier /2008 12:19
voici le texte de l'intervention de mr flamengt conseiller général du nord et la réponse que je lui ai donné ce matin lors de la séance plenière du CG concernant le budget
 
Contexte
 La volonté d’une indépendance alimentaire, puis l’émergence de la France en tant que grande puissance agricole mondiale ont façonné les campagnes françaises de l’après guerre.
 De mécanisation en recherche permanente d’amélioration de la productivité, l’agriculture a contribué avec l’urbanisation galopante à la dégradation de la qualité des sols et des eaux superficielles et souterraines. Cette dégradation affecte également la résistance des sols aux phénomènes d’érosion, par la disparition massive des éléments supports de cette résistance, tout particulièrement les haies et boisements divers, ainsi que les structures herbagères.
 Même si une prise de conscience collective et une forte implication des agriculteurs au cours des dernières années ont permis l’émergence de nouvelles pratiques plus respectueuses de l’environnement, un lourd passif reste à combler.
 Aujourd’hui, l’évolution de la Politique Agricole Commune (PAC) crée de nouvelles inquiétudes : l’obligation de mise aux normes des élevages et son poids financier, malgré l’importante mobilisation publique, dont le Département, a conduit à la restructuration d’exploitations et à une concentration des élevages. Ce phénomène est amplifié par l’érosion continue des revenus pour les producteurs laitiers, malgré la mise en œuvre par l’Europe de l’aide directe laitière sensée compenser la baisse des prix d’intervention.
 La réforme de la PAC et la mise en œuvre de la conditionnalité devaient également contribuer à intensifier l’effort pour l’émergence d’une agriculture plus respectueuse de l’environnement. La complexification administrative et la résistante centralisation à la française s’avèrent cependant être des freins sur le terrain pour la mise en œuvre de mesures effectives et adaptées au contexte régional, notamment sous la forme des Mesures Agro Environnementales (MAE).
 La conjugaison de la pression sur l’élevage et des lourdeurs de mise en œuvre de mesures en faveur de l’environnement fait planer une lourde menace pour le devenir des surfaces en herbe et pour les actions locales en vue de lutter contre l’érosion des sols, comme sur le territoire de la Selle.
Si on ajoute à ces paramètres le changement climatique et l’apparition répétée de phénomènes pluvieux exceptionnels, la menace ne porte plus seulement sur l’environnement, mais également sur les biens et les personnes.
 Dans un tel contexte quelle est l’action du Département pour accompagner les territoires engagés dans la lutte contre l’érosion des sols ?
 MA REPONSE:
 
Le Conseil Général partage ces inquiétudes et le constat impérieux d’une action contre l’érosion des sols.
C’est une mobilisation combinée des poliques départementales de l’eau, de l’agriculture et du boisement qui permet aujourd’hui d’agir concrètement :
-         En premier lieu, le Conseil Général a souhaité participer financièrement à l’action de la Chambre d’Agriculture en vue d’apporter aux agriculteurs une assistance technique dans le cadre de la lutte contre l’érosion. Une chargée de mission accompagne ainsi au quotidien les territoires et les agriculteurs ;
-         La révision de la charte départementale de l’aménagement foncier a permis en outre d’affirmer la volonté du Conseil Général de participer à un aménagement durable des territoires ruraux et de renforcer la capacité d’intervention du Département par l’accompagnement de programmes complémentaires de travaux connexes en faveur de l’environnement. Trois communes de la Selle sont ainsi engagées dans une réflexion préalable à un possible aménagement foncier en vue d’engager pour partie le programme de lutte contre l’érosion des sols du Syndicat de la Selle ;
-         Dans un contexte réglementaire pesant, le Conseil Général a également pris ses responsabilités afin de faire évoluer la politique départementale d’entretien et de plantation des haies et ainsi de la pérenniser ;
-         Afin de promouvoir l’herbe en tant que support de la protection des sols et des eaux, mais aussi de l’alimentation du bétail et ainsi lutter contre la disparition des prairies, le Département soutien l’association ADARTH qui mène une action de sensibilisation remarquable au plus près des agriculteurs de l’Avesnois ;
-         Enfin, la politique départementale de l’eau, notamment sur ses volets relatifs à l’entretien et à la gestion des cours d’eau et de leurs bassins versants, reste un outil majeur d’accompagnement au quotidien des territoires pour prévenir tout particulièrement les risques d’inondation et d’érosion des sols et participer de la reconquête des milieux naturels.
Tout ceci est un travail de longue haleine et qui permettra en 2008 d’engager des actions concrètes comme à Erchin, dans le Douaisis.
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21 janvier 2008 1 21 /01 /janvier /2008 23:24
j'interviens ce mardi matin à Lille dans l'hémicycle du Conseil Général en tant que  vice président:
environnement, politique de l'eau, agenda 21, développement durable ,espace naturel sensible, boisement, gestion des déchets .
  
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14 janvier 2008 1 14 /01 /janvier /2008 11:38
Voici le texte officiel
SEANCE PLENIERE
REUNION DU LUNDI 10 DECEMBRE 2007
 
 1) (Page 10) .- Merci, M. le Président.
M. le Préfet, mes chers collègues, une question relativement courte.
J’ai pu participer au nom des 100 Départements de France au Grenelle de l’environnement, une expérience passionnante et enrichissante. D’ailleurs, je souhaite qu’elle ait des prolongements concrets très rapidement parce que l’urgence est là.
Je n’ai pas besoin de vous dire que ce qui s’est passé hier en Bretagne était relativement impressionnant et qu’il y a quelques jours à Dunkerque nous avons eu une surcôte surprise de 2,10 mètres lors d’une marée.
Il y a donc urgence à prendre des mesures.
 
Je voulais savoir quels sont les financements prévus par l’Etat afin de décliner dans le Nord le Grenelle de l’environnement et en particulier quelle est votre proposition concernant le projet de ligne de fret ferroviaire avant long et container entre Dunkerque et le reste de la France, projet qui a été évoqué par Jean-Louis 
BORLOO lors du Grenelle de l’environnement.

Mr le Préfet m'a répondu de manière orale mais m'a promis des réponses écrites ,que je n'ai pas reçues, je ne manquerai pas de vous donner des nouvelles dès réception de celles ci!
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9 janvier 2008 3 09 /01 /janvier /2008 09:36
Vous trouverez dans la rubrique lien, le blog de Marie FABRE Candidate à l'élection cantonale de DK ouest (saint Pol sur mer, Petite Synthe, Cappelle la Grande, et une partie de Dunkerque Centre et Sud) suite à la décision de mon collègue et ami Philippe PARESYS de ne plus se représenter.

Je connais Marie depuis plusieurs années, et je peux affirmer  son attachement à défendre avec force et determination les interets de son canton, je suis certain qu'elle sera une élue exemplaire avec qui j'aurai plaisir à travailler dès son election.

Son remplaçant Paul GOKEL est un ami de longue date, il  sera un appui et un soutien important pour les missions que Marie FABRE aura d'ici quelques semaines à assurer.

http://mariefabre.over-blog.fr/

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16 décembre 2007 7 16 /12 /décembre /2007 11:26
voici un article trés intéressant sur un des problèmes majeurs de ce siècle:
  •  
 
La Désertification :
 l’avancée des déserts est un nouveau problème environnemental auquel nous devons faire face aujourd’hui. Ce phénomène est aussi grave que la pollution, nous devons nous en occuper au plus vite selon moi parce que l’avancée des déserts à de graves conséquences sur les pays affectés. Il détruit notamment la végétation et peut provoquer une famine parce que le sol n’est plus cultivable. Ce problème est provoqué par plusieurs causes :• la déforestation• le changement de climat,• la surexploitation des sols et plusieurs autres. La désertification est une cause assez importante dans le monde pour que l’ONU nomme 2006 l’année internationale des déserts et de la désertification. Dans l’article de Bruno Lamolet, on peut y lire «La désertification touche 70 % des terres cultivables de la planète à travers une centaine de pays», citation de Pierre-Marc, ancien premier ministre du Québec et maintenant président du conseil d’administration du centre international Unisféra, un centre de recherche indépendant et à but non lucratif.
Premièrement, je vais parler de l’effet que la déforestation a sur la désertification. Le déboisement contribue à la destruction des sols, parce que les arbres ont le rôle de les maintenir et de retenir dans ceux-ci l’humidité qu’ils ont besoin pour rester cultivable. Une fois le sol privé de tous ces arbres, les pentes des collines perdent la capacité de réguler l'écoulement des eaux ce qui amène comme conséquence la fluctuation rapide des cours d’eaux et des rivières. Ce qui amène souvent des inondations désastreuses. Les sols nus sont aussi exposés à la chaleur, aux pluies intenses et aux vents violents ce qui cause l’érosion des sols.
 
Alors lorsque le sol est soumis à autant de dégradations, la désertification apparaît. Lorsque l’ombre protectrice des grands arbres a entièrement disparue après un défrichement, les plantes restantes sont insuffisantes pour permettre la régénération d’une forêt. Donc plus rien ne peut pousser sur ces terres arides. Il y a donc un lien direct entre la déforestation et la désertification. Moins nous couperons d’arbres dans les pays comme l’Afrique et moins l’avancement des déserts dans sera rapide dans les régions concernées par ce problème très grave. En plus de diminuer la coupe de forêts, nous devons faire beaucoup de reboisement afin de sauver ces régions de la désertification.En second, il y a les changements climatiques qui ont des conséquences sur l’avancement des déserts. Les tendances à la désertification ont une incidence sur les réservoirs et les puits mondiaux de carbone.
 
La désertification contribue donc au réchauffement global de la planète. D’après les prévisions, il y aura une élévation de la température de 1 à 2° C entre 2030 et 2050. Les changements de températures entraineront donc :• Une plus grande évaporation de l’eau• une baisse de l’humidité et ;• finalement, une aggravation de la dégradation des terres au Moyen-Orient.Tout cela amènera des sécheresses répétées en Afrique ainsi qu’une grande vulnérabilité des terres. C’est donc ainsi que le changement climatique a des répercussions sur l’avancement des déserts. La désertification a elle aussi des répercussions sur le climat, car elle accentue le changement climatique à l’échelle planétaire, principalement par leur effet sur la végétation. De plus, les sols des zones sèches, c’est-à-dire les savanes, les prairies les semi-déserts et etc., contiennent plus d’un quart de toutes les réserves mondiales de carbone organique, ainsi que pratiquement tout le carbone inorganique. La désertification, si nous ne l’arrêtons pas, peut libérer une bonne partie de ce carbone dans l’atmosphère, ayant des répercussions majeures sur le climat. Selon le site greenfacts, il y a «300 millions de tonnes de carbone qui sont relâchés chaque année par les zones sèches dans l’atmosphère suite à la désertification (environ 4 % du total des émissions mondiales, toutes origines confondues)».
 
Alors la biodiversité est menacée par ce phénomène résultant du changement climatique et de la désertification. Finalement, il y a les conséquences que la surexploitation des sols entraîne sur l’avancement des déserts. La surexploitation des sols est sur le point de stériliser les terres. Ces cent dernières années, un milliard d’hectares de terres fertiles ont été dégradés sous l’effet de l’activité humaine. « À ce rythme, nous manquerons sans doute de blé avant de manquer de pétrole », craint le microbiologiste Claude Bourguignon. Ce chercheur à même découvert que non seulement le désert et l’érosion des sols prennent du terrain, mais en plus partout les équilibrent s’effondrent, l’activité biologique recule et les sols meurent. Le bilan de la dégradation des sols dressé par l’International Soil Reference and Information Centre (Isric), basé aux Pays-Bas, confirme que chaque année, plus de 200 000 Km² s’érodent dans le monde. La mauvaise gestion aurait notamment endommagé 5,5 millions de Km² ! C’est une perte énorme sans compter que cela est juste la mauvaise utilisation des sols, si nous y ajoutons les autres causes de la désertification, la perte des sols y est encore plus grande.
 
Les africains, à eux seul, ont perdus 650 000 km2 de terres en 50 ans. Là où il n'y a pas de pluie, les sols sont déjà fragiles mais quand on les exploite, cela devient très grave. Lorsqu’on exploite trop un sol, qu’on y fait pousser trop de choses sans laisser le temps à cette terre de se reposer, le sol s’appauvrit et s’épuise. CE qui contribue à la désertification. La surexploitation des sols est pratiquée par les populations locales des pays affectés mais surtout par les multinationales installées dans ces régions qui détruisent les meilleures terres qu’ils ont dans ces régions. Il faudrait donc faire attention aux sols puisque lorsqu’on les détruit cela amène la désertification, qui amène ensuite la famine et le déplacement des peuples affectés par l’avancée du désert. Bref, comme vous pouvez le voir, la désertification est un problème très grave dont il faut s’occuper au plus vite. Nous avons déjà perdu beaucoup de terres, il ne faudrait en perdre plus. Si nous voulons aussi contribuer à diminuer le nombre de famine dans le monde, je crois qu’il faut s’attaquer a ce problème en premier puisque dans quelques années, il y aura une hausse de famine épouvantable en raison de la rareté des terres cultivables qu’il y aura dans ces pays.
 
Moi, j’aimerais mieux léguer aux générations futures un monde vert au lieu d’un monde qui n’est que sable et poussière.
 
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13 décembre 2007 4 13 /12 /décembre /2007 10:37
Après les franchises médicales, le non remboursement de médicaments, la fin de l'éxonération de la redevance audiovisuelle, des mesures contre l'APA (voir messages prochains), voici un article du journal Les Echos concernant les maisons de retraite:

"Les maisons de retraite dénoncent un manque de financements publics
Les directeurs des établissements publics (hôpitaux et maisons de retraite) accueillant des personnes âgées dépendantes ont dénoncé, hier, le manque de moyens accordés à ce secteur. « Le gouvernement annonce des mesures qu'il ne peut financer, c'est inacceptable », a souligné Gérard Vincent, délégué général de la Fédération hospitalière de France (FHF), en évoquant l'inadéquation entre les promesses du plan « solidarité grand âge » et du futur plan Alzheimer, et les moyens réellement accordés ou prévus en 2008. Selon les directeurs d'établissements, cela risque d'entraîner l'arrêt du renforcement des personnels soignants dans les maisons de retraite, alors que le niveau de dépendance ne cesse d'augmenter."


Décidemment, ce gouvernement et son président  ne font plus  l'unanimité!
Le réveil s'annonce et il sera très dur. Les prochaines mesures antisociales sont bien au chaud des musettes du gouvernement pour après les municipales: TVA sociale, carte scolaire  etc...
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10 décembre 2007 1 10 /12 /décembre /2007 15:59
j'ai interrogé Mr le Préfet vers 15H15 dans notre hémicycle concernant les retombées concrètes et financières du Grenelle de l'environnement dans le département du Nord et en particulier pour la création de la ligne ferrée trains longs containeurs à partir de Dunkerque.
Aprés m'avoir remercié de ma participation au Grenelle de l' environnement, Mr le Préfet nous a indiqué que d'aprés lui, "il était un peu tot pour décliner localement et qu'il fallait attendre les décisions au plus haut de l'état en fin Décembre."
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8 décembre 2007 6 08 /12 /décembre /2007 00:34
contribution financière du département au SDIS :


1999     7 M7 Euros
2000     10 M 4
2001     12 M 5
2002     16 M
2003     21 M 7
2004     32 M 2
2005     38 M 6
2006     45 M
2007     62 M 2
2008     70M
 
le gouvernement nous abandonne quant à la  la gestion des sapeurs pompiers et notre contribution augmente chaque année !!!
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