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7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 09:20

Dans le même temps, où l'UMP demande aux français des sacrifices de plus en plus injuste, une mission parlementaire annonce dans un rapport que cette année, la suppression de la Taxe Professionnelle a permis aux entreprises d'économiser 8.7 milliards d'euros!!!


Et pour les années suivantes ce sera près de 5 milliards d'euros par an.


Quand on connait les resultats de cette politique: une augmentation du chomage régulière, et une dégringolade des créations d'emplois, on peut se poser la question : A qui profite ce cadeau fiscal?


En tout cas pas aux salariés!!!

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2 février 2010 2 02 /02 /février /2010 12:42
Je ne suis pas du tout d'accord avec le titre du quotidien régional, que je ne cite plus:

"Décision reportée pour Total Dunkerque"

En fait l'arrêt du raffinage est acté puisque la direction a annulé le grand arrêt technique.

Le "vrai" titre aurait du être "9 milliards de bénéfices pour Total mais arrêt du raffinage à Dunkerque"


Total sous la pression politique, les élections régionales ont lieu en mars, ne pouvait pas annoncer autant de bénéfices et fermer une raffinerie, l'image de Tsarko aurait été écornée!


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25 janvier 2010 1 25 /01 /janvier /2010 00:29
les  patrons  sans  foi  ni  loi  amis  du tzar  kozy  font  la  loi  en france  !!!  c'est  insupportable  !!!
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17 mars 2009 2 17 /03 /mars /2009 10:13

Ce qui suit est peut-être la réponse d’Obama à Sarkozy !

 

Les primes d’AIG en travers de la gorge de Barack Obama

 

Le président américain entend bloquer le versement de dizaines de millions de dollars à des responsables de l'assureur, sauvé de la faillite par un plan gouvernemental.

 

Et en France on donne plus de 430 millions d’euros à 14 000 personnes !
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17 mars 2009 2 17 /03 /mars /2009 09:15
Dénoncée par une écrasante majorité de Français, la suppression de 555 postes chez Total alimente un mécontentement social à un niveau record avant la journée d'action du 19 mars, selon le baromètre mensuel BVA-« Les Echos »-France Info-BPI.

Si un soleil printanier gagne la France, le climat social, lui, se dégrade sérieusement. Selon le baromètre mensuel BVA-« Les Echos »-France Info-BPI, 74 % des Français trouvent « justifiée » la journée interprofessionnelle de mobilisation organisée jeudi par les syndicats pour obtenir du gouvernement de nouvelles mesures en faveur de l'emploi et du pouvoir d'achat. Un soutien massif qui dépasse les clivages politiques et sociaux : 55 % des sympathisants de droite (contre 42 %) et 75 % des catégories supérieures (CSP+) contre 24 % appuient le mouvement.

Hormis le récent conflit en Guadeloupe, qui avait été défendu par 78 % des Métropolitains, « il s'agit du mouvement social le plus soutenu depuis près de quatre ans que BVA enregistre l'attitude des Français » sur ces questions, constate Gaël Sliman, le directeur général adjoint de l'institut. Déjà très populaire, la journée d'action du 29 janvier dernier n'avait reçu l'appui que de 69 % des sondés. Et, preuve, s'il fallait, du chemin parcouru, une majorité de Français jugeaient « injustifiées » les manifestations contre la réforme des retraites, il y a à peine un an et demi, rappelle Gaël Sliman.

« Il est très probable que les annonces de plans sociaux, la semaine dernière, chez Total et Continental ont contribué à renforcer in extremis le soutien au mouvement de jeudi », estime-t-il. L'annonce des 555 suppressions de postes par le géant pétrolier, après des profits record en 2008, est, de fait, jugée très sévèrement par les personnes interrogées au cours du week-end par BVA. Pas moins de 83 % des sondés considèrent qu'« il n'est pas normal » que la compagnie réduise ses effectifs « même sur des secteurs moins porteurs dans la mesure où elle a réalisé des bénéfices importants ».

Probable détérioration

Un sujet supplémentaire de mécontentement à l'égard du gouvernement dans la mesure où celui-ci soutient désormais Total. Lors d'un déplacement, vendredi, dans la Drôme, le Premier ministre, François Fillon, avait volé au secours de la compagnie, « une des plus belles entreprises françaises », qui, avait-il souligné, va « créer plus d'emplois qu'elle n'en supprime » cette année en France. Contredisant, au passage, son secrétaire d'Etat à l'Emploi, Laurent Wauquiez, qui avait vu dans ces suppressions de postes un « scandale ».

Pas surprenant, dans ce contexte, que la perception de la politique économique du gouvernement se dégrade un peu plus : 62 % des personnes interrogées par BVA la considèrent désormais comme « mauvaise » (+ 2 points), alors qu'elles sont 34 % (+ 1 point) à la juger « bonne ». Les plans de licenciements étant appelés à se multiplier dans les mois à venir, « les choses, prévient Gaël Sliman, peuvent encore se détériorer. »

 

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9 mars 2009 1 09 /03 /mars /2009 15:52

lu dans la Voix du Nord, l'entreprise Europerfà Wormhout spécialisée dans la fabrication et le conditionnement de parfums devrait licencier 21 emplois sur les 154 salariés de l'entreprise.

Une conséquence triste de la crise économique qui selon Lagarde et Tsarko1er n'aurait pas de répercussions localement.

Encore une preuve de la faillite de cette politique ultralibérale et du fameux plan de relance de l'UMP.

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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 23:45
Merci Marc


NATIONALISATION AUX USA ! OBAMA CAN DO IT !

 

Mais en France, c’est impossible d’avoir des représentants de l’Etat dans les Conseils d’administration des banques…

 

Le Trésor américain au secours de Citigroup

L'administration Obama va partiellement nationaliser la banque américaine, sévèrement chahutée sur les marchés boursiers.

Le libéralisme prend une nouvelle fois du plomb dans l’aile aux Etats-Unis.

D’après le Wall Street Journal, le Trésor américain va prendre une participation de 30 à 40% du capital du groupe bancaire américain Citigroup, représentant un investissement de 25 milliards de dollars. L’opération est destinée à stabiliser le capital d’une institution très chahutée sur le marché.

Un accord devrait être annoncé vendredi matin aux termes duquel le Trésor accepterait de convertir certaines des actions préférentielles qu’il a obtenues en échange d’une aide de 45 milliards de dollars, mais qui ne lui donnent pas de droit de vote, en actions ordinaires.

Condition sine qua non, posée par le Trésor, à un tel accord : Citigroup doit persuader des investisseurs privés de réaliser la même opération (et pour les mêmes montants) que le Trésor, dans une limite de 25 milliards de dollars.

Par ailleurs, le conseil d’administration de Citigroup serait remanié pour qu’une majorité d’administrateurs indépendants puissent y siéger. Mais le poste du directeur général Vikram Pandit ne serait pas menacé.

La perspective d’une telle opération avait été dessinée par de premières révélations du Wall Street Journal dès dimanche soir. Depuis lors l’adminisration Obama avait dévoilé ses intentions dans ce type de dossier, mais dans des termes très généraux. Le Trésor avait ainsi ouvert la porte à des processus de nationalisation partielle, mais seulement en dernière extrémité et à titre provisoire.

Si Washington doit intervenir, «tout capital de l’Etat sera sous forme d’actions préférentielles obligatoirement convertibles, qui seraient converties en actions ordinaires seulement si cela s’avère nécessaire avec le temps pour maintenir les banques dans une position bien capitalisée», avait précisé le Trésor. Cela n’arriverait que si le privé n’apportait pas le capital supplémentaire nécessaire, et seulement à la demande de la banque concernée. Il avait été précisé que l’Etat n’entendait être un actionnaire de référence qu’à titre provisoire, car «notre économie fonctionne mieux quand les institutions financières sont bien gérées par le secteur privé».

Le Wall Street Journal soulignait jeudi soir qu’il restait encore des zones d’ombres dans l’accord avec Citigroup, notamment sur le prix auquel les actions préférentielles seront converties en actions ordinaires, certaines sources du quotidien évoquant un prix de 5 dollars exigé par Citigroup, soit plus du double du cours de clôture de jeudi (2,46 dollars).

Autre problème: la quasi totalité des membres du conseil d’administration de la banque de 15 membres sont déjà indépendants. Le nouveau président du conseil, Richard Parsons, avait du mal ces dernières semaines à trouver des candidats pour remplir des postes vacants.


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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 18:15

Vraiment ils se foutent  de la G... des gens !


HP propose des baisses de salaire pour ne pas licencier
, y compris en France

Les salariés de HP France seront concernés par le plan de réduction de la masse salariale. Les baisses pourraient être de l'ordre de 2,5 à 15 % selon les cas.

 

Gagner moins pour que l'entreprise licencie moins. Tel est en substance le message du PDG de HP, Mark Hurd, envoyé par mail hier aux 100 000 employés du constructeur dans le monde. « Nous avons décidé d'aller plus loin dans la variabilité de notre structure de coûts en réduisant les salaires de base chez HP. Mon salaire de base sera réduit de 20 %. Le salaire de base du comité de direction sera réduit de 15 %. Le salaire de base des autres dirigeants sera réduit de 10 %. Le salaire de base de tous les autres cadres sera réduit de 5 %. Pour les non-cadres, le salaire de base sera réduit de 2,5 %. [...] Bien entendu, ces mises en place sont sujettes à conformité avec les lois et règles locales », est-il écrit dans ce mail que 01net. s'est procuré.

 

Aux Etats-Unis, où la législation sur le sujet est très souple, ces actions de réduction de la masse salariale devraient avoir un impact quasi immédiat sur les salaires des employés américains. Mais il n'en est pas de même en Europe, où les salariés sont beaucoup mieux protégés par le droit du travail.

 

Un second mail, que nous nous sommes également procuré, envoyé hier par la direction Européenne de HP aux salariés européens, laissait d'ailleurs entendre que l'Europe allait être relativement épargnée : selon ce mail, seuls les managers de niveau 2 (à savoir les managers de managers) et quelques salariés d'EDS devaient être touchés par ce programme. Mais un appel auprès du service de presse de HP France a suffi à nous informer du contraire.

 

Toutes les catégories de salariés seront concernées.

 

« Tous les salariés français seront impactés par ce programme, mais, contrairement aux Etats-Unis, la proposition de baisse de salaire se fera sur la base du volontariat. Les échelons de baisse appliqués seront les mêmes que ceux pratiqués outre-Atlantique. Les instances de représentation du personnel seront consultées dans les semaines et les mois qui viennent. Mais il est vraisemblable que ces baisses de salaires n'interviendront pas avant le troisième trimestre », explique Nathalie Touzain, porte-parole de HP. Le salaire de base du PDG de HP France, Yves de Talhouët, devrait d'ailleurs lui aussi être impacté d'environ 15 %.

Rappelons qu'en France « toute réduction de salaire n'est pas possible sans l'accord individuel de chaque salarié. Si le salarié refuse, il peut se voir menacé de licenciement économique. Dans la pratique, l'employeur s'expose alors à débourser des indemnités de licenciement, ce qu'il n'est pas forcément prêt à faire », explique François Dehay, conseiller juridique à l'Ifec.

 

300 000 euros en moins pour Mark Hurd

 

Il est certain que la mesure aura du mal à passer, y compris dans les rangs des syndicats, qui préfèrent pointer du doigt les revenus de Mark Hurd : « Notre PDG touche un salaire de base d'environ 1,5 million de dollars annuel. Il est prêt à renoncer à 20 % de ce salaire, soit environ 300 000 euros. Une somme que je vous invite à comparer aux 41 millions qu'il touche par ailleurs en bonus et autres primes en tout genre. Au niveau de la France, la situation entre les organisations syndicales et la direction est très tendue et cette annonce ne va rien arranger. Le dossier EDS est au point mort, il n'y a plus aucune discussion entre les organisations syndicales et la direction », explique François Godart, délégué syndical CFDT central du groupe HP France.

Dans les jours qui viennent, les salariés du groupe devraient se voir expliquer cette mesure par leur managers directs.

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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 11:58

http://www.libelille.fr/saberan/2009/02/seafrance-veut.html

 

 

SeaFrance veut supprimer 650 emplois

 

Boxoflettuce_2 La compagnie maritime transmanche Seafrance, filiale de la SNCF, a annoncé mardi son intention de supprimer 650 emplois, parmi le «personnel navigant et sédentaire», dans le cadre d'un plan de redressement en raison de la chute de son marché en 2008.

 

L'explication : «Historiquement, SeaFrance détenait 20% du marché fret, qui a lui-même baissé de 20%. Janvier 2009 confirme cette tendance baissière, avec une chute de 23% par rapport à janvier 2008", explique la compagnie dans un communiqué publié à l'issue d'un comité d'entreprise extraordinaire à Calais. L'entreprise, qui opère entre Calais et Douvres et emploie 1.700 salariés, précise avoir «perdu 20 millions d'euros en 2008» et perdre «chaque mois environ 3 millions d'euros depuis octobre dernier». «Cette situation n'est plus tenable dans un contexte de crise qui s'annonce durable», est-il ajouté. SeaFrance envisage donc «un redimensionnement» de sa flotte «pour l'adapter à son marché et réduire ses coûts d'exploitation», qui se traduirait par «une réduction des effectifs d'environ 650 emplois, qui affecterait le personnel navigant et sédentaire». L'entreprise espère un «retour à l'équilibre dès 2010».

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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 10:18

 

Le groupe bancaire franco-belge Dexia, secouru fin septembre, en pleine tempête financière, par les gouvernements français, belge et luxembourgeois, a annoncé, vendredi 30 janvier, la suppression d'environ 900 emplois en 2009 et la fermeture ou la réduction d'activités à l'international. Les coupes concernent 2,5 % des effectifs mondiaux (36 500 emplois au total) et devraient permettre de réaliser 200 millions d'euros d'économies dès cette année. 

L'administrateur délégué de Dexia, Pierre Mariani, a annoncé que la Belgique devrait être la première touchée, avec une suppression de l'ordre de 350 emplois. En France, près de 250 emplois seront supprimés, ainsi qu'une centaine au Luxembourg. Environ 250 suppressions d'emplois sont prévues sur les autres implantations dans le monde, a-t-il ajouté. Les modalités de ces suppressions d'emplois, qui devaient être soumises en détail aux comités d'entreprise du groupe, restent imprécises. Une source proche de Dexia avait toutefois laissé entendre, mercredi, que les non-remplacements de postes et les départs anticipés à la retraite pourraient être privilégiés par rapport aux licenciements secs. 

PAS DE PRIME POUR LES DIRIGEANTS 

Dexia a annoncé en parallèle une perte nette estimée à 3 milliards d'euros pour l'année 2008, dont 2,3 milliards pour le seul quatrième trimestre. La firme a par ailleurs proposé la suppression, à titre exceptionnel, des dividendes et des bonus des dirigeants pour 2008, ainsi qu'une baisse de la rémunération versée aux administrateurs en 2009. "L'ensemble des rémunérations variables de tout le groupe va être réduit de moitié", a commenté M. Mariani, avec un effort "surtout sur les équipes de direction" qui y renonceront totalement. Pour le reste des salariés, la réduction ira de 30 % pour les plus petits salaires à 60 % pour les autres. 

A la veille de cette annonce largement attendue, plus de 200 personnes avaient manifesté jeudi, à Paris, au pied de la tour Dexia, dans le quartier de la Défense. A la Bourse de Bruxelles, vendredi matin, l'action Dexia plongeait de 6,05 %, à 2,49 euros.

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