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20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 22:16
Merci à Daniel Cordiez et à ... Ségolène !


Ségolène ROYAL : "Le gazole devrait coûter 0,75 euros"...

 

Elle demande aux compagnies pétrolières et gazières de diminuer les prix de l'essence, du fioul et du gaz naturel. Le cours du baril de pétrole a diminué de moitié depuis le mois de juillet, mais cette baisse n'a pas été, loin s'en faut, répercutée sur les prix pour le consommateur. Le litre de gazole à la pompe, qui s'élevait à 1,5 euros en juillet, vaut encore 1,2 euros aujourd'hui. Pour tenir compte de cette baisse du prix du cours, le gazole devrait coûter aux consommateurs  0,75 euros !

Ségolène ROYAL rappelle que les compagnies pétrolières justifiaient la hausse de l'essence par la hausse du baril de brut. Qu'elles tirent maintenant toutes les conclusions de la baisse des cours : au lieu d'accroître le profit de leurs actionnaires (12 milliards d'euros pour Total en 2007), elles doivent, à l'approche de l'hiver, prendre en compte l'intérêt des Français et baisser leur prix.

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17 octobre 2008 5 17 /10 /octobre /2008 12:09

je vous conseille la lecture de l'article du Groupe Socialiste du Conseil Général à ce sujet, il répond tout à fait à l'annonce du plan de C Boutin

"Madame Boutin est passé maître dans l’art des gesticulations médiatiques à grand renfort de poudre aux yeux. Mais tous les grands comédiens doivent enlever leur masque un jour ou l’autre. Madame Boutin a fait tomber le sien avec sa loi dite de « mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion » qui va porter un coup au logement social et va remettre en cause les droits des locataires.
Avec la loi Boutin, de nombreux Français vont basculer dans la précarité. Celui qui verra ses revenus progresser, par la reprise d’un emploi par exemple, devra plier bagage dans les trois années à venir. Dans le meilleur des cas, il devra payer une majoration pour conserver son bail. Ne resteront dans ces logements à loyer modéré que les locataires les plus en difficultés, ceux qui n’auront pas les moyens d’aller voir ailleurs et de se soumettre au prix prohibitif du marché… belle perspective pour la mixité sociale ! Quant aux locataires menacés d’expulsion, ils ne pourront plus bénéficier d’une suspension de jugement de 3 ans mais d’une seule petite année, ce qui ne leur laissera qu’un délai ridicule pour se ressaisir et régulariser leur situation. Quel humanisme ! Du droit au logement opposable que Madame Boutin avait jadis défendu, il ne reste aujourd’hui qu’une mesure ubuesque adoptée dans le seul but de calmer la colère des mal logés.
Madame Boutin a fini d’amuser la galerie. Sous prétexte de vouloir « faire de la France un pays de propriétaire », elle livre une bataille sans merci contre le logement social et le quota de 20% prévu par la loi SRU qui, faut-il le rappeler, avait été sauvé en 2006 par la venue de l’Abbé Pierre à l’Assemblée Nationale. Avec la loi Boutin, l’article 55 va être vidé de son sens. Les communes hors-la-loi, Neuilly-Sur-Seine pour ne prendre qu’un seul exemple, pourront construire de l’accession à la propriété plutôt que du logement social, ce qui leur permettra, in fine, de sélectionner leur « clientèle » et d’exclure les plus pauvres. Face à la crise du logement, Madame Boutin ne propose qu’une seule alternative, la maison à 15 euros par jour, qui va endetter à vie les classes moyennes.
La loi Boutin est le dernier avatar d’une politique de destruction du logement social qui a commencé avec la libéralisation du livret A en passant par la vente d’une partie du parc de logements publics et l’octroi de déductions fiscales aux bailleurs privés. A tous ces reculs, il faut ajouter le désengagement de l’Etat avec la baisse de 6,9% des crédits consacrés à la politique de la ville et au logement dans le budget 2009.
Nous rappelons que le logement figure parmi les premières préoccupations des Français et qu’il doit, à ce titre, devenir une priorité nationale. Le projet de loi de Madame Boutin en a pris le contresens.
Reviens l’Abbé… ils sont devenus fous ! "

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16 octobre 2008 4 16 /10 /octobre /2008 22:36

TRAVAIL LE DIMANCHE...

Ce qu'en pensent les plus démunis:
 Mais qu'est-ce qu'on va  bien pouvoir acheter le dimanche qu'on ne peut pas s'acheter la semaine?


Merci à Marc P.

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16 octobre 2008 4 16 /10 /octobre /2008 22:03
Donner 360 milliards pour sauver les "irresponsables" et leur permettre de continuer à flamber...
il faut peut etre en passer par là, mais relancer l'économie pour aider les PME c'est indispensable!!!
L'hebdo des sociaLIstes


■ L’effondrement de la conjoncture économique et financière affecte particulièrement les petites et moyennes entreprises. Cependant, avant que la crise bancaire ne s’accentue,elles étaient déjà en difficulté.
Le recul du pouvoir d’achat, de la consommation et de la croissance,résultat d’une politique économique injuste et inefficace,a affaibli lesPME. Par exemple, le recul du secteur du bâtiment, où les entreprises sont majoritairement de petite taille, est l’un des principaux facteurs expliquant ces difficultés. Pourtant, le
projet de budget de l’État pour 2009 se traduit par une réduction des budgets alloués au Ministère du logement, à l’inverse de ce qu’il faudrait faire, et aucune mesure de soutien n’est apportée à ce secteur.
Par ailleurs,le gouvernement n’a pris aucune mesure pour soutenir l’investissement. Au contraire, le recul des crédits aux collectivités locales, principaux investisseurs publics, va se traduire par une réduction des projets d’investissement et affecter les carnets de
commande et l’activité des PME.
Les conséquences de la crise financière et bancaire vont encore aggraver la situation des PME françaises.
En effet, le resserrement des conditions de crédit va les pénaliser directement. L’endettement constitue l’un des principauxmoyens de financement de l’activité des PME. Or, la remontée des taux interbancaires conduit les banques à reporter sur leurs clients les
coûts supplémentaires,en remontant les taux d’intérêt, et le manque de liquidité provoque une plus grande sélectivité sur les prêts accordés,les premières touchées étant les PME.
Compte tenu de la crise qui touche le secteur productif, dont les PME,le plan de soutien du système financier est insuffisant pour relancer la croissance. Il doit s’accompagner d’un plan de soutien à l’activité économique, ce qui nécessite de complètement réécrire
le budget pour 2009, pour sauver l’économie


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16 octobre 2008 4 16 /10 /octobre /2008 10:47
Claudy Lebreton est président de l'association des Départements de France:

29  Septembre 2008
Claudy Lebreton (ADF): «Ils sont en train de nous tordre le cou».

Claudy Lebreton, président de l’Assemblée des départements de France, dénonce la «grande brutalité» du projet de loi de finances à l’égard des départements, déclarant: «Ils sont en train de nous tordre le cou».
Interrogé par l’AFP vendredi, M. Lebreton a déclaré, parlant des concours de l'Etat aux collectivités, qu’on est «en train d’essayer de faire croire à l’opinion publique que ce sont des dépenses du budget de l’Etat aux collectivités dépensières, irresponsables, d’autant plus que la plupart d’entre elles sont dirigées par la gauche. Comme si nous, les collectivités territoriales, étions responsables du déficit abyssal que l’Etat lui-même a généré».
«Ce gouvernement fait une erreur historique alors qu’il faut aller progressivement vers plus de compétence pour les collectivités. Ils sont en train de nous tordre le cou, en se disant les collectivités font tellement bien que même si on leur donne moins, elles se débrouilleront quand même», a ajouté M. Lebreton.
Les élus membres du comité des finances locales regrettent «l’intégration du FCTVA (fonds de compensation de la TVA, NDLR) dans l’enveloppe normée» et soulignent que «les dotations aux collectivités n’augmenteront en réalité que de 0,9% et non pas de 2% comme l’annonce le gouvernement, soit bien moins que l’inflation».

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16 octobre 2008 4 16 /10 /octobre /2008 10:44

Pour preuve, la lecture de cet article dans Maire-Info, je précise que l'AMF représente l'ensemble des maires de France, je dis bien l'ensemble, ce n'est pas une officine de gauche ou de droite !

André Laignel, secrétaire général de l'AMF: si le budget 2009 est maintenu en l’état, ce serait une «régression pour nos régions, nos départements, nos intercommunalités et nos communes»

A l’issue du Comité des finances locales (CFL) du 25 septembre, André Laignel, député-maire d’Issoudun, secrétaire général de l’Association des maires de France (AMF) dit, dans un communiqué, s’être opposé, au nom de l’AMF, à la «véritable purge financière organisée sur les finances locales:
- stagnation totale des dotations de l’Etat;
- menace de suppression du fonds de compensation de la TVA;
- réforme de la DSUCS;
- après plafonnement de la taxe professionnelle (TP), sa suppression éventuelle.»
Si le budget 2009 est maintenu en l’état, écrit-il, ce serait une «régression pour nos régions, nos départements, nos intercommunalités et nos communes.» Pour 2009, la «seule alternative des collectivités sera le recul des prestations et des services rendus à la population ou l’augmentation des impôts.»
Il indique qu’en clôture des travaux du CFL, il a «fait adopter une motion à la majorité des membres du Comité demandant:
1- que le Fonds de compensation de le la TVA (FCTVA) reste en l’état et constitue bien un remboursement du paiement de la TVA effectué par les collectivités;
2- que soit reportée la réforme de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale (DSUCS). Cette réforme concernerait 228 communes parmi les plus pauvres qui seraient confrontées à moins ou plus du tout de solidarité nationale.»
Il s’agit d’une nouvelle «coupe claire pour 2009, au moment où les communes et intercommunalités ont vu leurs dotations gelées en 2008 et pour certaines déjà régressées.»
«Secrétaire général de l’AMF, j'ai porté les revendications des collectivités face à cette purge du financement des collectivités locales qui se traduira par un rétrécissement des marges d’action des pouvoirs locaux, un recul de la péréquation qui accentuera le creusement des inégalités entre les territoires pauvres et ceux qui le sont moins
», conclut-il.

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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 11:03
Décentralisation - 08/10/2008
Le rapport «Warsmann» prône des fusions à tous les étages

Un peu moins de deux semaines après le discours du chef de l’Etat à Toulon relançant la controverse sur le nombre d’échelons, la commission des lois de l’Assemblée nationale présidée par Jean-Luc Warsmann (UMP) vise notamment à «permettre la création d’une collectivité unique intercommunalité/communes».

Les conclusions de la mission sur «
la clarification de l’organisation et des compétences des collectivités territoriales», dévoilées le 8 octobre 2008, ont beau avoir été votées à l’unanimité, elles sont tout sauf tièdes. Le rapport, intitulé «pour un big bang territorial», plaide en faveur d’une organisation à la carte fondée sur des fusions à tous les étages : entre plusieurs conseils régionaux, entre un conseil régional et «ses» conseils généraux, un conseil général et une intercommunalité.

Il souhaite aussi «permettre la transformation d’une intercommunalité et de ses communes membres en une collectivité unique, à l’instar de la formule Paris Lyon Marseille». «Notre boîte à outil doit se transformer en machine à réduire le nombre de collectivités. Celles qui ne bougeront pas verront leur dotation globale de fonctionnement plafonnée. Le législateur devra aussi intervenir. Il faut agir très vite», tranche Jean-Luc Warsmann.
Se défendant de «poser un anathème» envers telle ou telle strate, le président de la commission des lois dit simplement souhaiter un «meilleur rapport qualité-prix de la décentralisation».

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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 16:03
Si un jour un pouvoir dictatorial s'installait en France ils auraient trés facilement accés aux ficiers de renseignements "secrets " de la police puisque BAKCHICH  a réussi à récupérer les fiches de Johnny et de Jamel Debbouze : (vous pouvez voir les fiches sur BAKCHICH )
Tous fichés, même les potes de Nicolas Sarkozy
SURVEILLANCE / lundi 6 octobre par Xavier Monnier
Un fichier peut en cacher un autre. Aussi dangereux qu’Edvige, le STIC met en fiches 23 millions de citoyens. Y compris Johnny Hallyday ou Jamel Debbouze. « Bakchich » publie leurs fiches.

Amis du président et stars en tous genres, vous n’êtes finalement pas choyés par le pouvoir, et en tout cas guère protégés de la curiosité des services de police. Comme tout citoyen ordinaire, vous êtes scandaleusement fichés par les services de la place Beauvau ! Et comme tout un chacun, votre passé judiciaire est épluché dans les fiches du Système de traitement des infractions constatées, le discret STIC. Lequel travaille à la limite de la légalité.

Un système estampillé Pasqua

Né en 1994 - mais seulement objet d’un décret en 2001- à l’initiative de Charles Pasqua, alors ministre de l’Intérieur, le fichier STIC (Système de traitement des infractions constatées), recueille les noms de toutes les personnes, auteurs d’infraction ou victimes, mêlés de près ou de loin à des procédures judiciaires. Et pour des faits datant même de quarante ans !

Théoriquement, le Stic vise à faciliter le travail de la police nationale, en créant une banque de données des infractions à la loi. Sont recensés les citoyens fautifs ou les victimes, c’est à dire tout le monde ou presque. Jugez en : 23,5 millions de procédures recensées, 26 millions d’infractions, 5 millions d’individus mis en cause, 18 millions de victimes ! Bref, un champ d’investigation, qui va bien au delà du fichier Edvige qui ne concernerait, estime le journal Le Point, « que » quinze millions d’individus.

Plus grave, l’ensemble des données du STIC sont répertoriées, sans respecter la jurisprudence de la Commission nationale informatique et libertés (CNIL), comme le démontrera l’enquête que nous publierons demain. Depuis 2007, un audit est mené par la CNIL sur les procédures mises en place par le ministère de l’Intérieur, dont les résultats doivent être connus en fin d’année. Or lors des investigations ultérieures qu’elle avait menées sur le fichier STIC et révélé en 2004, la CNIL avait constaté un taux d’erreurs d’environ 25 %, d’après le site web de l’autorité de contrôle de fichiers. Charmant. Et pas sûr que cela ait été rectifié selon les documents recueillis par Bakchich

Nul n’est à l’abri du fichage du STIC. Pas même les « idoles des jeunes », Johnny Hallyday ou Jamel Debbouze.

Johnny scandaleusement fiché dans des dossiers remontant, pour certains, jusqu’à 1967

Artiste réputé proche de l’Elysée, sous Chirac comme sous Sarkozy, un certain Jean-Philippe Smet, alias Johnny Hallyday dispose ainsi de sa fiche STIC. Celle ci est datée de 2008. Pas vraiment fans, apparemment, les poulets manquent de renseignements sur l’état civil du garçon. «  Profession : non enregistrée ou inconnue » ; « Nationalité : indéterminée ». Nous la reproduisons ci dessous.

La longue et erronée fiche Stic de Johnny

Le rocker le plus proche du pouvoir est très suivi dans ses pérégrinations judiciaires ; sa fiche recense des infractions, dans lesquelles son nom fut cité, depuis…1967. Soit il y a plus de 41 ans. Or la durée de conservation des infractions dans le fichier STIC ne doit pas dépasser les 40 ans pour les infractions les plus graves (assassinats, viols…etc), et les vingt ans pour les délits moins graves. Autant dire, que la fiche de Johnny est plus qu’à la limite de la légalité [1]

Rebelle à l’ordre établi et anticipant sûrement mai 68, Johnny est alors « cité comme auteur : violences volontaires » pour des faits commis le « 26/10/1967 à Paris XVIe ». Précis les policiers détaillent le statut du chanteur dans l’affaire : « Déféré ».

Présomption d’innocence, conditionnelle, précaution sur l’emploi des termes, rien n’y est.

« Les informations contenues dans le fichier ont SIMPLE VALEUR DE RENSEIGNEMENT susceptible d’ORIENTER L’ENQUETE. Il ne pourra en être fait état que sous réserve de vérifications », précise toutefois les en-tête des fiches STIC. Avant de placer que «  cette personne a été citée dans cette procédure pour le ou les faits suivant, mais en aucun cas il ne peut être déduit de ce document qu’elle a été définitivement reconnue comme responsable des faits ».

Légères précautions qui n’altèrent que peu les impressions données par les fiches.

A voir la liste des infractions commises dans les folles années 70, l’œil profane peut croire que « les portes du pénitencier » n’étaient pas loin de se refermer pour Hallyday. Encore déféré pour «  Infraction à la législation sur les armes » (1975), « violence volontaire » (1973) ou encore « outrage aux bonnes mœurs » (également 1973).

Le STIC ne se met pas à jour

Un petit chapelet de présomptions qui aurait du être balayé depuis longtemps des fiches du STIC. Or la police peine à compléter la fiche du chanteur depuis les faits présumés. A chaque fois, on lit :« Suites judiciaires : inconnues ».

Autre année riche pour le document STIC de Johnny : 1992. Les années 90, plus fric que folles, voient l’éternel chanteur allumer le feu… et se brûler un peu avec. « Cité comme auteur : Abus de biens sociaux » et « Escroquerie ». Mais là encore, les flics sèchent au moment des suites judiciaires, « inconnues ». Un manque de curiosité qui s’avère un vilain défaut, au moins aux yeux de la loi.

L’antique loi informatique et liberté de 1978 oblige tout gestionnaire de fichier de compléter et de corriger toute information contenu dans ce fichier lorsqu’elle est incomplète. Mieux, le décret du 5 juillet 2001 (qui légalise le STIC) place ce fichier sous le contrôle du procureur de la République. A charge pour ce dernier de transmettre les suites « judiciaires » des différents dossiers aux services régionaux de police, tenus de rectifier les choses – voire de supprimer les mentions en cas de relaxe ou d’acquittement (mais pas d’amnistie), selon une ordonnance rectificative du 20 novembre 2006.

Johnny n’échappe pas au Stic
© Oliv’

A croire que Johnny compte moins de fans chez le procureur de la République de Paris, chargé de la tutelle du STIC de la capitale, et chez les flics franciliens, que dans le monde politique.

Jamel Debbouze, client régulier du STIC

En proie à quelques controverses avec la police depuis 1999, Jamel Debbouze a aussi droit à sa fiche STIC. Pour des faits remontant, pour les plus anciens, à 1999.

Le Stic ne suit pas de près la carrière de Jamel

Mais là non plus, nulle mention des suites judiciaires. Les supposés démêlés de Debbouze avec la justice sont toujours suivis de la mention « suite judiciaires inconnues ». Au moins les poulets sont-ils plus au parfum de ses activités que de celles de Johnny, puisqu’ils lui reconnaissent la qualité de comédien.

La République irréprochable de Sarko est en marche. Tous égaux, tous fichés ! A une réserve près. Au STIC, les politiques semblent mieux traités. La plupart de ceux qui ont été égratignés par la justice n’apparaissent guère dans le fichier. Ainsi Charles Pasqua, entendu de nombreuses fois lors des dossiers de l’Angolagate, des casinos et autres et qui comparait aujourd’hui lundi 6 octobre devant le tribunal correctionnel de Paris, n’apparaît pas dans le STIC. Tout comme son nom avait été supprimé de l’ancien fichier des RG. Bakchich a néanmoins récupéré la fiche RG de Pasqua datant de 1968. Du grand art ! (voir encadré ci dessous) C’est bien le moins d’être épargné pour un Pasqua, créateur, en 1994, de ce vaste système de fichage.

Lire ou relire dans Bakchich :

Le ministère de l’Intérieur dénonce dans des notes internes, que « Bakchich » s’est procurées, les nombreuses erreurs contenues dans le fichier STIC. Gare au contrôle de la CNIL !
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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 15:44
Daniel Canepa , prefet de région a été nommé ce jour préfet d 'Ile de France .
Une promotion pour ce proche de N.S.,avec une volonté certtaine de "controler" ce territoire essentiel du paysage politique Français .
il est remplacé chez nous par jean michel Bérard, actuel préfet du loiret .
Je ne sais pas pourquoi j'ai envie de fredonner la chanson de Georges Brassens  les copains d'abord ...
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6 octobre 2008 1 06 /10 /octobre /2008 03:13
Conseil régional: une enquête dérangeante
 
"Inadmissible, déplacée"... C'est ce qu'a déclaré mercredi le ministère de l'Intérieur concernant une enquête de police

Un courriel de la sous-direction de l'Information générale de la Direction départementale de la Sécurité publique du Rhône, ex-RG, appelait la direction des ressources humaines du conseil régional Rhône-Alpes à donner des renseignements sur la religion de ses salariés.

Le DG de la police nationale doit diligenter une enquête hiérarchique interne.

"Auriez-vous l'amabilité de m'indiquer si parmi votre personnel, vous avez des agents de confession autre que chrétienne (...) ? Pouvez-vous me dire si certains d'entre eux ont demandé des aménagements d'horaires ou de service pour pratiquer leur religion ?", était-il écrit dans un courriel en provenance d'un agent de la sous-direction de l'Information générale (SDIG) de la direction départementale de la Sécurité publique du Rhône (DDSP), anciennement les Renseignements généraux.

Michèle Alliot-Marie "a immédiatement saisi le directeur général de la police nationale pour diligenter une enquête hiérarchique interne dont les résultats doivent lui parvenir dans un délai très bref qui ne doit pas dépasser 24 heures", selon le ministère. "Il est totalement inadmissible d'adresser ainsi à une collectivité locale une question de la sorte, sur un sujet qui n'a pas sa place dans les activités d'un Service départemental d'information générale", a-t-on poursuivi au cabinet du ministre.

Le 26 septembre, le président socialiste de la région, Jean-Jack Queyranne, avait interrogé le ministre de l'Intérieur "sur cette enquête qu'il trouve choquante tant dans son principe que dans les modalités de sa mise en oeuvre". Cette lettre "n'était pas encore parvenue à la ministre ni à son cabinet", a-t-on ajouté Place Beauvau où on a découvert cette affaire par une dépêche de l'AFP.

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