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6 janvier 2008 7 06 /01 /janvier /2008 01:53

C’EST une petite phrase qui revient, lancinante, dans son discours : il veut qu’un chômeur « ne puisse pas refuser plus de deux offres d’emploi successives qui correspondent à sa formation ». Epatante, cette petite phrase. D’abord elle laisse entendre qu’il y en a des tas, de chômeurs qui refusent de bosser. Et ça, le coup des feignants qui s’engraissent sur le dos des autres, ça marche toujours … Cette phrase suppose aussi que personne, jusqu’à présent, n’a songé à s’attaquer à ces affreux parasites. Personne sauf Sarkozy : avec lui, fini le laxisme ! Admirons son courage : il ose affronter les vrais problèmes, non ?

Non, c’est du pur bourrage de crâne électoral. Tout simplement parce que ça existe déjà, le contrôle des chômeurs, et pas qu’un peu. Aujourd’hui, il suffit qu’un chômeur refuse un emploi correspondant à sa formation pour qu’il soit radié quinze jours. S’il recommence, il sera radié de un à six mois : c’est ce que prévoient les textes, notamment la circulaire du 5 septembre 2005. Laquelle va plus loin, d’ailleurs : un chômeur qui ne fait pas assez d’efforts dans sa recherche d’emploi, qui refuse un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation, ou une formation, ou une action d’insertion, ou un contrat aidé, ou simplement une visite médicale, ou même qui ne se rend pas à une convocation de la Direction du travail, de l’ANPE ou des Assedic, encourt la même sanction, laquelle s’assortit d’une réduction graduée (20 %, 50 % ou suppression définitive) de l’allocation chômage. On sait bien que Sarkozy n’a pas le temps de lire toutes les circulaires de son collègue de bureau Borloo, mais il pourrait s’informer ... il apprendrait ainsi que jamais un gouvernement n’a fait radier autant de chômeurs         (    + 40 % depuis 2002) que celui auquel il appartient.

« En fait, note un bon connaisseur attaché au ministère de l’Emploi, il est très rare qu’un ch6meur refuse un emploi compatible avec sa formation et sa mobilité géographique, et rétribué à un taux de salaire normalement pratiqué dans la profession et la région ». Sarkozy agite donc des menaces dans le vide. A moins que...

A moins qu’il ne prépare ainsi les esprits à un sérieux tour de vis. Qu’il envisage d’obliger un chômeur d’accepter un boulot à trois heures de chez lui. Ou un boulot payé au-dessous du tarif normal. Ou ne correspondant pas à sa qualification … Un informaticien serait alors obligé de se faire balayeur. Un archéologue devrait aller faire les vendanges. Une famille devrait traverser la France pour un boulot de chien à la durée même pas garantie. Dans la France sarkozyée, les entreprises de déménagement feraient fortune… Mais les employeurs ne seraient pas forcément gagnants : quand on embauche des malgré-nous, l’absentéisme et les arrêts-maladie explosent. Et vive la « valeur-travail » !

Jean-Luc Porquet

Piqué dans Le Canard Enchaîné du 21 février 2007. Titre original : « Tous des feignants ! »

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5 janvier 2008 6 05 /01 /janvier /2008 00:51
VOYAGE VOYAGE 

j'voyage tout le temps du Sud au Nord ...


Nicolas Sarkozy en vacances en Jordanie
Nicolas Sarkozy est arrivé vendredi dans la station balnéaire d'Aqaba, à l'invitation du roi Abdallah II de Jordanie

Le souverain, qui l'a accueilli à son arrivée, s'est entretenu avec le président français des développements du processus de paix au Proche-Orient et de la situation au Liban.

Nicolas Sarkozy doit poursuivre jusqu'à dimanche ce séjour "privé" en Jordanie, où il visitera des sites archéologiques, dont la ville nabatéenne de Pétra.

Nicolas Sarkozy est "invité dans la résidence du roi pour le week-end", a-t-on indiqué à l'Elysée, précisant que cette invitation avait été lancée par Abdallah II "entre Noël et le Nouvel An".

Le palais royal d'Aqaba, sur la mer Rouge, est situé dans une zone gardée par l'armée, et constitué d'un ensemble de villas, où résidera Nicolas Sarkozy.

Le président français a voyagé à bord de l'avion du roi Abdallah II, a indiqué l'Elysée.

Il s'agit de sa deuxième visite dans la région en dix jours.

Il s'était rendu fin décembre en Egypte où il avait passé cinq jours de vacances avec sa nouvelle amie Carla Bruni, avant une visite officielle d'un jour au Caire.

L'utilisation par le chef de l'Etat, pour ce voyage privé, d'un avion appartenant au milliardaire Vincent Bolloré, avait soulevé une  polémique.

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5 janvier 2008 6 05 /01 /janvier /2008 00:41
aLAINkRIVINE donne 20 /20  à l'élève Sarkozy en matière d'auto augmentation du salaire !!!
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5 janvier 2008 6 05 /01 /janvier /2008 00:35

Nous sommes paraît-il dans l’urgence. Il fallait "urgemment":
- faire un cadeau fiscal aux plus riches,
- fermer des tribunaux,
- paralyser la France pendant trois semaines pour allonger la durée de cotisation des cheminots (pour un gain étalé sur plusieurs années de 200 M d’euros, ce qui est "peanuts"),
- privatiser GDF et
- augmenter au passage la facture de gaz,
- parler d’environnement sans mesure concrète à la clé,
- rendre les décisions faites à l’université plus opaques et moins démocratiques,
- radier un certain nombre de chômeurs de longue durée,
- ouvrir grandes nos portes à un dictateur,
- "éloigner" quelques 26 000 sans-papiers,
- augmenter le salaire du président de la République, pour assurer la transition avec celui du ministre de l’Intérieur (tiens mais c’est le même !),
- nommer juge et partie un patron de magasins de disques en lui faisant pondre un rapport contre le "piratage",
- urgence de défiscaliser les heures supplémentaires,plutôt que de s’attaquer aux charges sociales par tête pour encourager l’embauche,
- urgence de faire une politique de bouts de chandelle pour le logement social,
- urgence de faire payer les plus pauvres pour leurs soins ; et la liste des "urgences" est loin d’être close !"

alors, à la question "Et qui va évaluer Sarkozy ?"

on peut répondre: les électeurs, et dès mars prochain, vu que les critères rappelés ci-dessus sont suffisant pour une apréciation réaliste !

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4 janvier 2008 5 04 /01 /janvier /2008 23:58
les ateliers reprennent 
je participe à 3  ( ! )ateliers: batiments, nouvelles énergies et eau 
.Bien du plaisir en perspective !
j'espère que nous ne serons pas notés !!! 

voici un article écrit par une élève journaliste à Lille :


Grenelle de l’environnement 

« Ni optimiste, ni pessimiste, je reste déterminé »

 

Jean Schepman est le vice-président du conseil général du Nord, chargé de l'environnement, de la politique de l'eau, du cadre de vie et de l'agenda 21. Très concerné par les questions de développement durable dans son canton d’Hondschoote, au sud de Dunkerque, ce socialiste œuvre pour que le département devienne écologiquement responsable. Des ampoules à basse consommation aux robinets économes en eau, Jean Schepman est sur tous les fronts pour réduire la facture énergétique de l’hôtel du département. Son ambition durable ? Que tous les édifices publics du Nord, ainsi que les entreprises, adoptent une position « écolo » grâce à des mesures incitatives, ou coercitives s’il le faut. Sa dernière lubie : que les bâtiments publics produisent leur propre énergie et ne soient plus des consommateurs effrénés. Jean Schepman a participé aux travaux préparatoires du Grenelle de l’environnement cet été, au sein de l’atelier « énergie et transports ». Parfois moqué pour ses déclarations catastrophistes sur « la montée du niveau de la mer qui va submerger la Côte d’Opale d’ici 50 ou 100 ans si on ne fait rien », ce quinquagénaire est toujours partant pour discuter de l’avenir de la planète. Il a accepté d’évoquer l’après-Grenelle, à un moment où les premiers doutes sur la bonne volonté du gouvernement se font sentir.

 

Les syndicats, les ONG  et l’ensemble des participants aux tables rondes du Grenelle de l’environnement sont sortis très optimistes des négociations des 24 et 25 octobre à Paris. Mais depuis quelques jours, l’ambiance est plus électrique. L’Alliance pour la planète évoque « une vraie réduction des ambitions ». Quel est votre sentiment par rapport à ces critiques ?

C’est vrai qu’au sortir du Grenelle, nous étions tous euphoriques, persuadés d’avoir bien avancé. Aujourd’hui, on a des raisons de douter et carrément d’être déçus. Je pense par exemple au projet de loi sur les organismes génétiquement modifiés que Jean-Louis Borloo – le ministre de l’écologie, du développement et de l’aménagement durables – a présenté hier en conseil des ministres. Du « produire et consommer sans OGM » initial, négocié pendant le Grenelle, on se retrouve  avec « produire et consommer avec et sans OGM ». Ca change totalement la donne. A quoi sert de décider ensemble si, au final, c’est au bon vouloir du gouvernement ? Nathalie Kosciusko-Morizet – la secrétaire d’Etat chargée de l’écologie - défend un texte bien en deçà des accords. Pourtant, pendant les débats,  Nicolas Sarkozy était catégorique sur cette question. 

 

Cette évolution négative vous inquiète-t-elle ?

Je ne suis ni optimiste, ni pessimiste. Je reste déterminé à faire aboutir mon action en faveur de l’environnement. Un politique doit croire qu’il peut faire évoluer les choses. Pour l’instant, je ne suis pas inquiet. Il y a de vrais motifs de satisfaction : certains projets ont l’air d’être réellement sur les rails, comme l’écopastille – un système de bonus malus écologique pour les voitures neuves, basé sur la quantité de CO2 rejeté, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2008. Ca « conscientise » les consommateurs. 

 

Mais depuis la semaine dernière des voix s’élèvent contre cette taxe qui est payée à l’achat du véhicule et non annualisée comme les ONG le souhaitaient…

Les débats ont été si houleux sur cette thématique qu’il a fallu trouver un consensus minimal entre les participants. Alors, certes, ça n’est pas parfait mais on n’a rien pu faire de mieux... Mais j’avoue que je commence à avoir quelques doutes car certaines choses me dérangent : le groupe de travail sur l’énergie, auquel j’appartiens, devait se réunir avant le 15 décembre pour évoquer la problématique des bâtiments produisant leur propre énergie. Sauf que nous arrivons à Noël et il ne s’est toujours rien passé de ce côté là… Il y a un vrai manque d’organisation : il y avait aujourd’hui une autre réunion plus générale sur le Grenelle, au ministère. Mais on m’a prévenu seulement hier donc je n’ai pas pu m’y rendre. J’ai l’impression qu’on est dans l’improvisation maintenant… 

 

A quoi attribuez-vous cela ?

A Jean-Louis Borloo. Vous avez remarqué, on ne l’entend presque plus s’exprimer. C’est dommage, il avait lancé un chouette truc avec ce Grenelle… 

 

Vous en parlez avec un brin de nostalgie…

Oui… Je faisais vraiment confiance à Jean-Louis Borloo… Il est dynamique, engagé, mais en ce moment c’est silence radio, alors qu’il y a encore beaucoup de travail ! 

 

Comment expliquez- vous ce changement d’implication ?

 J’ai deux explications. Soit Jean-Louis Borloo considère qu’il a fait sa part du travail et il a décidé de laisser ses services s’occuper du reste. Même si j’admets qu’il a déjà beaucoup travaillé, ça n’est pas une solution. Il ne faut jamais relâcher ses efforts tant qu’il reste des problèmes non résolus. S’il est dans cette posture, les citoyens qui ont envie d’agir pour le développement durable vont se démotiver très vite. Les politiques doivent montrer l’exemple pour entraîner les autres, être des leaders, c’est comme ça que je conçois notre action. Voilà ma première hypothèse du désengagement du ministre, qui ne sera, je l’espère, que passager. Quant à la deuxième… J’ai peur qu’en haut lieu on lui ait dit de se calmer… 

 

C’est-à-dire ?

Je crains que le Président lui ait dit : « Jean-Louis, tu devrais arrêter de faire des promesses qu’on ne pourra pas tenir. Promets tant que tu veux de faire bouger les choses, mais de toute façon on ne te donnera pas un sou de plus… » 

 

Vous parlez d’argent, ou plutôt d’un éventuel manque de moyens. Justement, l’Association des régions de France s’inquiète du « budget 2008 qui ne comporte pas d’aménagements pour mettre en œuvre les annonces en matière de développement des transports collectifs ». Quel est votre sentiment face à l’absence de traduction budgétaire des mesures environnementales ?

De toute façon, il faut bien être conscient d’une chose : le gouvernement ne veut pas débourser un centime pour le développement durable. La plupart des mesures décidées n’auront aucune incidence sur le budget propre de l’Etat. Les autorités font des promesses orales, à charge ensuite pour les collectivités territoriales de les mettre en œuvre et de les financer. C’est comme ça depuis longtemps, c’est un résultat de la décentralisation. L’Etat fait payer ses mesures par les départements, les régions voire les consommateurs. Et dans le cas précis de la protection de l’environnement, ce sont les pollueurs qui sont taxés.

 

Devant le recul sur certaines questions, des participants au sommet réclament un nouveau départ. La fondation Nicolas Hulot propose de réunir tous les mois un groupe de suivi « pour conserver la dynamique du Grenelle ». Vous devez être favorable à cette requête…

Oui, bien sûr. Cette effervescence suivie d’un calme relatif est préoccupante. On doit rester dans une optique de rapport de force, et ne rien lâcher. Il faut tenir dans la durée.

 

Du côté des syndicats, notamment de la Confédération paysanne, on évoque aujourd’hui le Grenelle comme de « la poudre aux yeux ». Vu l’évolution de la situation, n’avez-vous pas peur que ce sommet n’ait été qu’une opération de communication ?

C’est vrai que Nicolas Sarkozy est très fort sur ce terrain là et qu’on peut donc légitimement se poser la question. Mais, si ce n’était qu’une opération de com, ce que je n’espère pas, je trouve que ça a très bien fonctionné. Je m’explique. Même si, pour l’instant, on a l’impression que les mesures ne sont pas à la hauteur des promesses, il y a au moins un point positif dans le Grenelle : les gens se sentent concernés par les questions environnementales. Ils en parlent, ils s’intéressent à ces sujets désormais. 

 

Cet été, vous expliquiez en effet à la Voix du Nord  votre « optimisme ». Et vous ajoutiez : « si le président de la République, Jean-Louis Borloo et Nicolas Hulot disent « allez, on fait tous un effort », les gens suivront. » Aujourd’hui, êtes-vous toujours aussi confiant ?

Oui, car j’ai vu un sondage récent dont le résultat est frappant : 89% des Français se disent prêts à faire des efforts pour protéger leur environnement. Ca montre l’efficacité du Grenelle sur les mentalités.  Et ça, c’est déjà une excellente avancée, fondamentale selon moi. Ensuite, les intentions ne suffisent pas, il faut que les gens modifient vraiment leur comportement. Mais, attention, les citoyens ne doivent pas êtres les seuls à se mobiliser. J’attends avec impatience la suite concrète du Grenelle ! 

 

Et justement, la suite, vous la voyez comment ? En juillet, vous déclariez que vous n’hésiteriez pas à vous désolidariser du Grenelle si ça ne passait pas comme vous vouliez…

J’espère que la situation va avancer en janvier. J’accorde au gouvernement le bénéfice du doute avec les fêtes de fin d’année qui approchent. Je laisse une chance aux dirigeants, pour l’instant. Mais si d’ici fin janvier 2008 il ne passe toujours rien, croyez-moi, ils vont entendre parler de moi ! J’attends de voir avant de m’énerver. Je me rassure en me disant que tout était peut-être trop précipité, qu’on n’a pris assez de temps pour finaliser les décisions au niveau national…De toute façon, au niveau local on continue à se mobiliser.

 

Dans le Nord, donc, qu’est-ce que vous faites pour respecter les objectifs du Grenelle ?

On n’a pas attendu ce sommet pour commencer à travailler ! On a mis en conformité l’hôtel du département avec les impératifs écologiques de réduction de la consommation d’énergie bien avant. Et on se lance dans l’autoproduction d’énergie. Mais c’est vrai que, depuis les négociations, beaucoup de gens m’appellent pour savoir quoi faire. Des chefs d’entreprises veulent des informations sur la géothermie, se demandent par quelle société passer pour faire installer des panneaux solaires,... Idem avec les constructeurs du bâtiment, ils sont très intéressés et souhaitent développer leur activité dans ce sens. De ce côté-là, ça bouge beaucoup : il y a de vrais efforts d’adaptation. Mais mon objectif, en ce moment, c’est d’avancer sur les dossiers ferroviaire et fluvial. Le canal Seine Nord est bien parti. L’autre priorité c’est d’aller vite sur la question des transports en commun. Mais je me serais battu pour tout ça avec ou sans le Grenelle. 

 

Propos recueillis par Aurélie Herbemont le 20 décembre 2007.

 

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4 janvier 2008 5 04 /01 /janvier /2008 12:40

Lors de la cérémonie des voeux à Hondschoote, le Président de l'association INJENO a présenté rapidement son association à la population.

J'ai souhaité mettre à l'honneur L’association INJENO (INitiatives de parents de Jeunes Epileptiques du Nord) qui  a pour objectif principal de venir en aide à d’autres familles confrontées au handicap de leur enfant ayant pour origine commune une maladie neurologique connue ou inconnue.

Le blog de l’association se veut un lieu de rencontres, d’échanges entre parents qui vivent les mêmes réalités, les mêmes difficultés.

Voici le lien vers le blog, 
Les parents, bénevoles et enfants méritent notre soutien:

www.epileptique.fr/dotclear/index.php

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3 janvier 2008 4 03 /01 /janvier /2008 23:43
Le Journal des Flandres de ce jeudi se fait l'écho d'une polémique lancée comme par hasard 2 mois avant les cantonales par les élus de droite de la 14 ème (parmi eux certains sont de droite quand celà va pour eux et  sont  apolitiques dans les périodes plus difficiles ) . 
Sont cités dans cet article  Mr Figoureux,  Mr Jean Pierre Decool et Mr Valois.
il s'agit d'une expérience pilote de transport à la demande, entr'autre pour les personnes handicapées, que nous allons lancer au conseil général ,dans notre  secteur  et partout ailleurs dans le département sur certains terrioires. 

J'ai participé à la plupart des réunions organisées à ce sujet .
Dossier très complexe qui a demandé du temps. ( responsabilité , formation, organisation, harmonisation avec les autres transports , recherche des financements alors que les collectivités territoriales sont axphixiées par les désengagements de l'état )

Cette expérience passe au budget de 2008 qui ne peut bien sur pas ètre voté en 2007 !!! ( le vote du budget a lieu en février )
Patrick Kanner ,premier vice président l'avait clairement indiqué à ses interlocuteurs, et en personne à Jean Pierre Decool !!!
et malgré celà on s'insurge des retards du Conseil Général sur ce dossier !
on ne trouve pas plusieurs centaines de milliers d' euros comme celà !!!
J'aimerais d'ailleurs que ces élus interpellent le gouvernement actuel sur les 289 millions d'euros qu'il  doit au Conseil Général du Nord pour 2007 !!!

D'autre part notre territoire de wateringues est en danger .
 Jean Pierre Decool ne peut il pas obtenir de l'état le remboursement de la dette envers l'institution des wateringues ???
Pourquoi ne proteste t'il  pas contre l'arrét définitif des financements depuis 2006 ? (Bernard Pruvot , président de la chambre d' agriculture du Nord lui nous soutient sur ce dossier .)

l'indignation semble etre uniquement dirigée contre le conseil général de gauche !


en tout cas nous, majorité au Conseil Général du Nord, on agit , on finance et on espère pouvoir ,     (si il n' y a plus d' obstacles juridiques ) démarrer cette expérience de transport pour personnes handicapées en 2008 !!!
(en rappellant quand meme qu 'un appel d' offres devra etre lancé )

Cette politique volontariste du Département du Nord est en reflexion dans les services et ce bien avant le projet d'un territoire,  le Département du Nord a pour principe l'équité entre territoire et ne doit pas priviligier tel secteur par rapport aux autres!
 
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3 janvier 2008 4 03 /01 /janvier /2008 23:41
on nous avait pourtant promis d'empécher la hausse du prix du carburant !!!
La flambée du carburant à la pompe allume la controverse
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PARIS (Reuters) - La flambée du prix des carburants à la pompe alimente la controverse entre le ministère de l'Economie, qui assure avoir réussi à calmer l'inflation, et une importante organisation de consommateurs, qui affirme le contraire.

 

Selon le site internet de comparaison des prix créé en fin d'année dernière par le ministère de l'Economie sur http://www.prix-carburants.gouv.fr, le prix du litre de carburant sans plomb 95 dépasse généralement les 1,45 euros à Paris, atteignant même les 1,6 euros au garage des Halles dans le 1er arrondissement.

Dans une ville de province comme Belfort, dans l'est du pays, il est entre 1,31 euros et 1,42 euros.

Pour l'UFC-Que Choisir, ces prix élevés profitent de plus en plus aux distributeurs qui ont gonflé leurs marges depuis la fin de l'année dernière, bafouant selon elle au passage les promesses formulées lors d'une réunion à Bercy le 10 novembre dernier.

Lors de cette réunion avec la ministre de l'Economie Christine Lagarde, les distributeurs s'étaient engagés, comme en 2005 et 2006, à ne pas profiter de la hausse des cours du brut pour augmenter leurs profits. Ils promettaient de "lisser" les hausses à la pompe et de modérer les marges.

"Depuis cette date, la marge de distribution, au lieu de diminuer, s'est accrue et a atteint des niveaux historiquement élevés", dit l'UFC-Que Choisir dans un communiqué.

En décembre, selon elle, la différence entre la cotation "Rotterdam" du carburant, référence européenne, et le prix hors taxe des carburants facturés en France était de 8,8 centimes au litre pour l'essence et de 9,5 centimes au litre pour le gazole, contre des chiffres de 7 centimes en octobre.

"En d'autres termes, la négociation ministérielle, qui visait à tasser les marges de distribution, a produit l'effet exactement inverse (... ) Ces comportements témoignent de la vacuité des réunions entre un ministre de l'Economie et des groupes pétroliers", dit l'UFC.

MISSION PARLEMENTAIRE ?

Elle demande la constitution d'une mission d'évaluation et de contrôle à l'Assemblée nationale pour faire un bilan des engagements des groupes pétroliers et formuler des propositions sur les prix, les investissements des pétroliers dans le raffinage et la recherche d'autres carburants que le pétrole.

En visite dans une usine de sous-traitance automobile à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), Christine Lagarde a implicitement démenti ces affirmations. Interrogé par Reuters, son cabinet a expliqué que les marges de distribution étaient très fluctuantes. Les pétroliers n'auraient pas gonflé leurs profits mais répercuté des coûts de transport en hausse en raison des grèves SNCF.

"Je suis contente qu'on ait négocié avec les producteurs-distributeurs de pétrole au mois de novembre pour obtenir de leur part un engagement de répercuter les baisses immédiatement et de lisser les hausses. C'est ce qu'ils font actuellement", a déclaré Christine Lagarde.

"Ils continuent à le faire. On va être extrêmement vigilant pour s'assurer que c'est bien le cas", a-t-elle ajouté.

Elle estime que la France se place bien en Europe grâce à des approvisionnements en énergie diversifiés et se prononce contre une modification du niveau de la TVA ou de la TIPP sur les carburants. Les taxes représentent, suivant les cas, plus de la moitié, voire plus de 60% des prix à la pompe.

"Je ne vous dirais pas aujourd'hui, il faut augmenter ou diminuer la TIPP ou la TVA sur les produits pétroliers, ça serait totalement inexact et malhonnête intellectuellement parce qu'il faut regarder tous les prélèvements ensemble", a-t-elle dit.

Thierry Lévêque, Jean-Baptiste Vey

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2 janvier 2008 3 02 /01 /janvier /2008 11:35
Le Président de la République en 2007 s'est augmenté de plus de 200% 
et l'inflation était de 1.6% 
pendant ce temps là, les pensions de retraite bénficient de 1.1 % d'augmentation et les prestations familiales de seulement 1 %
Une France à deux vitesses? Ah bon?
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2 janvier 2008 3 02 /01 /janvier /2008 10:15
PERMANENCES
JANVIER 2008
 
 
HONDSCHOOTE :
le vendredi 4 janvier 2008 sur rendez-vous de
09 h 00 à 10 h 00 au Point Relais Services (Point Com) – 1, rue de Cassel
WARHEM :
le mercredi 9 janvier 2008 de 17 h 30 à 19 h 00 au Foyer Rural
KILLEM :
le mardi 15 janvier de 17 h 30 à 19 h 00 à la Mairie
HONDSCHOOTE :
le vendredi 18 janvier 2008 sur rendez-vous de
09 h 00 à 10 h 00 au Point Relais Services (Point Com) – 1, rue de Cassel
REXPOEDE :
le jeudi 24 janvier 2008 de 17 h 30 à 19 h 00 face à la Mairie
GHYVELDE :
le samedi 26 janvier 2008 de 10 h 00 à 12 h 00 à la Mairie
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